Elle cherche... (pv Andrelin, c lui ki voulé)

Alicia, après un long, très long, congé sabatique de plusieurs mois, revenait dans le fameux domaine de la terre, dans lequel, depuis maintenant un an, elle passait sa vie entre entrainement, cours, et combat. Elle était assez heureuse pour reposer ses valises dans la petite chambre qui lui était réservée dans le bastion à grande vitesse, et elle descendit lentement les escalier sentant à plein nez la douce odeur du bois.
Elle laissa glisser sa main souple sur la rampes brunes et se délecta de ce toucher, mi rugueux mi moelleux du palissandre poli. elle ferma les yeux et, passant devand une fenêtre ouverte, senti sur son visage la caresse du soleil qui se couche et la fraicheur de la brise crépusculaire.

Avec un léger tressaut au coeur, elle se retrouva devant la haute porte massive de la bibliothèque de la terre. Elle les poussa et savoura la haute salle en pierre, avec ses grandes étagères baties pour durer et recouvertes de livres, de revues et de parchemin. Elle ne s'était jamais embêté à lire un seul de ses livres, sauf peut être celui qui traitait de la peau grasse en hiver.

Elle parcourut cependant les étagères du regard, admiratve de tous ceux qui savaient lire, ou, du moins, qui comprenaient ce qu'ils tenaient entre leurs mains.

Soudain, entre deux bouquins épais comme son bras (c'est a dire fin) elle aperçut èun grand homme à la barbe blanche et longue, un peu style Gandalf, sa carrure impressionante témoignait de ses combats passés.Iil tenait un gros ouvrage dans bras. Il le porta jusqu'à un petit pupitre, observa d'un bref coup d'oeil la couverture, grommela de mécontentement, et retourna le poser à sa place.

Elle contourna l'armoire et lui jeta un coup d'oeil curieux. Il était vieux, mais pas flétri. La magie était à l'oeuvre dans son puissant corps, et seul quelques rides parvenait à pointer entre ses traits lisses et plein de sagesse. Au bout d'un moment, elle vena le voir.

Vous cherchez queqlque chose... ?

A ce moment là, apercevut l' diamant en forme de goutte d'eau qui perlait sur sa tunique blanche. Elle jeta un coup d'oeil à son propre collier, un émeraudeaussi gros qu'une paillette.

Maitre du vent ?

Elle ignorait comment on s'adressait à quelqu'un qui était hat placé. Et encore plus chez le vent...

Il était tôt ce matin là lorsque une bourasque ouvrit l'imposante porte de la bibliothèque du royaume de la Terre. Une silhouette solitaire se retrouva au milieu d'une imposante allée bordée de livres en tous genres. Le nom de cette mysterieuse silhouette? Anderlin, Anderlin dit le Juste, roi du rauyaume du Vent, et Seigneur incontestable et inconsteté de la plaine. D'un coup de sceptre, Anderlin referma la porte derrière lui et s'avança dans l'impossante batisse. Il marcha pendant dix bonnes minutes avant de s'arreter devant une allée beaucoup plus étroite. Il s'assis à une table et d'un claquement de doigts fit s'envoler une dizaines d'ouvrage. Son royaume subissait une sorte de mini invasion de ver des Sables e Anderlin cherchait un moyen de s'en debarasser.

Au bout de plusieurs heures de recherche, et après avoir vu une bonne centaine de personne passer et repasser devant lui, Anderlin referma le dernier des livres. Il caqua une nouvelle fois des doigts et les livres allèrent se ranger. Anderlin se leva, et il marcha le long des étagères. Son index droit parcourait les reliures cherchant un livres plus ou moins utile. De temps à autre, il prenait un ouvrage, le parcourait en vitesse, la liste des chapitres et le roposait mecontant.

Au bout d'un moment, une jeune femme vint à sa rencontre, à première vu, il s'agissait d'une fée. Elle s'aprocha et lui demanda si elle pouvait être utile. Puis, elle sebla remarqué qu'Anderlin était un mage du vent car elle ajouta très vit une sorte de formule de politesse. Anderlin qui avait la tête plongée dans les livres depuis des heures esquissa un sourire.

"Conaissez-vous un moyen rapide de se debarasser de Vers de Sables mademoiselle?"

Anderlin s'inclina et fit un baise main à la jeune femme qui n'était pas une femme de noblesse de la Terre mais qui était charmante.

Il était vraiment bien. Rooo, des petits papillons !!! Ah non, c'est une mouche... Mais lui, il était pas chiqué...
Voilà les pensées qui pouvaient traverser l'esprit d'une fée quand elle rencontrait pour la première fois THE mage of the wind, et qui plus est, sur son territoire dans sa bibliothèque, du moins, en théorie, l'endroit où elle devait se sentir à l'aise. En plus il était pas mal... Pour un vieux.
Grand et bien bâti, il avait pas autant de rides que ça, et son regard bleu vif achevait de le rendre jeune, au moins à ses yeux.
Son rêve ? Qu'il utliise ses pouvoirs lui donnait une illusion de jeune homme blond et musclé, et elle lui sautait dessus.
Petit problème : c'était un intello.
bah oui, il cherchait des trucs sur les vers. Et entre nous, qui s'intéressait au vers ? (à part G... et R... ) Et pas n'importe lesquels ! les vers des sables ! des SABLES !
Mais si elle voulait réussir à l'envouter, il fallait qu'elle lui réponde.

Les vers... Hum, voyons...

Elle se pencha vers une étagère, offrant à son interlocuteur une belle vue sur son décolleté...

Bah....

Elle parut troublée. (étonnant...)

Je ne vois vraiment pas mais...

Elle se retourna et se retrouva coincée contra le corps musculeux d'Andrelin, penchée sur elle, qui s'était décalée pour voir ce qu'elle pouvait bien observer par le seul endroit où il n'y avait pas de livre sur l'étagère

hrp:J'ai cherché mais je vois pas qui sont G... et R..., si vous vous avez trouvez, envoyez moi un SMS (MP):/hrp

La jeune femme resta contempler les yeux d'Anderlin un moment, puis, elle se mit à hercher dans les étagères, se penchant en avant. Anderlin éprouvait une sorte de gènes, il avait la mailleur vu qu'il soit possible de rever sur la poitrine de la jeune personne. Mais malgré qu'il ne soit pas pervert (et oui Jaspert, un mythe qui s'éffondre...), il dessida d'en profiter un peu tout de même.

La jeune femme continua de chercher et Anderlin remarqua quelque chose de particulièrement intriguant, l'étagère qu'elle regardait était... VIDE!!! Le mage ecarquillales yeux pour être sur de ne pas rever. Mais non, il n'y avait rien. Il s'aprocha et regarda par dessus la jeune femme pour voir si les livres n'avaient pas anormalement retrecit, mais là non plus ce n'était pas le cas. Etait-elle folle? Peu importe, elle était de loin la demoiselle la plus jolie qu'Anderlin ai vu depuis un bon moment (le dîtes pas à Logwen surtout). Soudan, la demoiselle se releva et faillit buter contre Anderlin qui regardait encore par dessus son épaule (pour Nuada, Anderlin regarde par dessus l'épaule d'Alicia, pas la sienne, on sait jamais avec toi). Le vieu mage s'excusa maladroitement. Puis, il dessida de se presenter.

" C'est vraiment facheux que vous n'ayez rien trouvé. Mais j'y pense, vous ne connaisez sans doute pas mon nom, persones n'a encore jamais écrit un livre sur moi. Je me nomme Anderlin, dit le Juste, je suis le Roi du Royaume des Quatre Vents. Et vous? Quel est votre nom?"

Anderlin vit quelques personnes se retourner lorsqu'il prononça son nom, mais il n'en fit rien. Durant la guerre qui opposa es Cinq Tribus, Anderlin était très connu, notament pour avoir aneantit plusieurs camps du feu à lui tout seul (cf mon histoire dans ma presentation). Mais le vieu mage n'en fit rien et il regarda les yeux de la jeune fille devant lui. Ils étaient d'une beauté sans pareil. Aucune humaine n'aurrait pu en avoir d'aussi remarcablement beaux. C'est alors que la réalité éclata aux yeux d'Anderlin, ce n'était pas une humaine.

"Vous êtes une fée, une fée divinement belle. Vos competances doivent être restraintes dans un camps qui n'est pas fait pour les fées. Le Royaume des Quatre Vents aurrait mieu convenu à une jeune femme aussi charmante que vous."

Cette fois-ci encore, des gens se retournèrent, mais ils jettaient des regards noirs à Anderlin, il venait de critiqué le camps de la Terre sous les yeux d'une cinquantaine de ces membres.