Attaque à mains peu armées (pv Logwen)

Le jour se levait sur tout e pays. Au loin, on voyait une leur oranger pointer aux dessus des montagnes. Les oiseaux commençaient à chanter. Il y en avait partout, dans tous les rbres. Sauf peut être dans un, dans celui là ce trouvait un drole d'oiseau, une forme étrange, sombre, repliée sur elle même. A y rearder de plus près, on aurrait pu voir deux mains, et deux jambes. C'était un homme, assis dans cet arbre, sur une branche haute placée. Entre les doigts de cet homme faisait tourner machialement une sorte de long couteau. Mais son attention était ailleur. L'homme avait les yeux rivés sur un virage de la route qui passait au pied de l'abre. Il semblait preocupé par quelques chose. Il attendait un convoie. Un carrose plein de nobles de la tribus du vent.

L'homme en question se nommait Cassidi Smith, il était connu pour ses nombreux pillages. C'était de loin le voleur le plus recherché de tout le pays. Mais Cassidi s'en amusait. Voir des affiches avec sa tête mise à prix devanti un passe temps quotidien. Plus la prime ogmentait, plus cela l'amusait. Cassid attendait donc, assis dans son arbre. Au bout d'un moment, des bruits de roues et de sabots se firent entendre. Il y avait aussi des voix. Soudain, dans le virage apparu alors un cavalier, puis un deuxième. Derrière il y avait le carosse, avec quatre gardes armés de halebarde. Et enfin, deux cavaliers fermaient la marche. Cassidi avait entendu dire que quelqu'un surveillerait les passagés de l'interieur du carosse. Mais peu importe. Le convoie aprochait.

Bientôt, la halembarde de l'un des deux gardes assis à l'avant se trouva juste devant Cassidi. Celui-ci acrocha son arme à sa ceinture, mit son capuchon, puis il sauta. Il arriva sur le toit du carosse dans un craquement de bois. Il y eu des cris de surprise, puis, les deux cavaliers de l'arrière se mirent à crier.

"Un brigant, alerte!!!!"

Il y eu un nouveau crit venant de l'interieur du carosse, puis, les quatre gardes montèrent sur le toit de ce dernier pour se trouver face à un colosse encapuchoné. Cassidi bondit sur le premier, tira un coup sec sur la halebarde et jetta l'homme à terre. Le brigant pris alors l'arme du garde à deux mains et en donna un grand coup dans le ventre du deuxième garde qui tomba du carosse. Cassidi se retrouva alors face aux deux dernier gardes. Il bondit sur l'un deux lui decochant un coup de poing dans la machoir la lui brisant par la même ocasion. Puis, il se retourna et donna un puissant coup de katana dans le ventre du dernier garde, il remonta ensuite la lame jusque sous le menton, laissant l'homme tomber. Mais le convoie s'emballa et Cassidi roula sur le toit avant de tomber sur le sol de la route. Il se releva et empoigna au col un des cavaliers qui lui passait par dessus. Il le souleva de son cheval et pris sa place.

Cassidi galopait derrière lorsque une silouhette passa la tête par la fenetre du carosse. Decochant une flèche.

Logwen, elfe au service d'Anderlin le Juste. On l'y reprendrait à se dire à son service!!! Elle était sans auccun doute sa guerrière la plus vaillante et la plus adroite, et pourtant il lui avait confié une mission des plus... pitoyable. Elle devait escorter trois duchesses du royaume du vent. Si elle avait été sur un cheval, a côté du carrosse, et si ce dernier avait eu à traverser des montagnes pleines de Gobelins, la mission aurrait été passionante. Mais Logwen devait tenir companie aux duchesses en restant dans le carrosse qui traversait la campagne paissible. Logwen avait le regard perdu vers l'exterieur, son arc et ses flèches sur les genoux. Pendant se temps là, les duchesses racontaient leur anecdotes les plus barbantes. Logwen leurs souriait de temps à autre mais elle maudissait Anderlin pour cette mission. Le convoie traversa alors la forêt. Cela aurrait pu être sympatique si les brigants s'étaient manifestés. Mais 'était le calme plat.

Au bout d'un long moment, un bruit sourd retentit au dessus de la tête de Logwen, puis, un cri, il y avait un brigant sur le toit. Les duchesses se levèrent en se bousculant et rependant les flèches de Logwen sur le sol. Il était temps, il avait pris son temps celui la pensait Logwen. Mais bon, il était là maintenent. Logwen parvint au bout d'un moment à faire se rassoir les duchesses et à recuperer ses fèches. Elle passa la tête par la fenètre du carrosse et arma son arc. Derrière se trouvait le brigant qui avait volé le cheval d'un garde. Logwen tira.

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