Besoin de soutien

Il était tôt ce matin là, le soleil se leait à peine et les oiseau sortaient d'une longue nuit de sommeil. Le temps était inabituelement froid dans cette region de la montagne. D'habitude, il y faisait bon, même dans la matinée, mais là, les brins d'hrebes avait gelés. Sur un étroit santier avançait une silouhette solitaire. Cette personne était grande et mince, encapuchonée comme elle était, personne n'aurrait pu dire de qui il s'agissait. La silouhette avançait d'un pas vif, et elle seblait flotter tellement les desagréments du chemins lui était indiferents. Elle avançait sur le chemin qui longeait les precipices, enjambait les goufres, traversait les forêts. Bientôt, un filet de fumée s'eleva au dessus de la cîme des sapins. Mais la silouhette ne ralentit pas l'alure et elle marcha toujours sans s'arreter, sans preter attention à ce qui se passait. Elle ne fit pas attention aux deux chouettes qui se repondaient sur son passage. Ni au fouré qui sembla balayé par une brise légère laissant sortir un inconu qui disparu dans l'obscurité des arbres. Non, la silouhette avança jusq'ua se retrouver devant une porte, la porte d'un camp. Au dessus de cette porte flottaient deux étandards verts émeraudes. La personne attendit, elle ne dit rien et resta debout, le regard fixé sur la porte.

Au bout d'un petit instant, un homme aparu sur la palissade à côté de la porte. Il vit la silouhette, imobile devant l'entrée, et il donna des ordre à des personnes cachée par la palissade de bois. La porte s'ouvrit alors. Mais l'étrangé n'entra pas, il resta debout, sans bouger. Alors, deux ardes sortirent et l'escortèrent jusqu'a une imposante hute, au centre du campement. Un filet de fumée s'échapait du toit et un étendard semblable àceux de la porte flottait devant l'habitation. La mysterieuse personne entra seule dans la hute. Celle-ci était vide, un feu brulait en son centre. L'étrangé alla s'assoir devant le feu defaisant sa cape de voyage. l s'agissait d'un viel homme, à la barbe blanche comme la neige. L'homme se rechaufa les mains au dessus du feu et finit par parler.

"Sais-tu qui je suis Cassidi?"

Alors, dans un coin vide, quelque chose se mit bouger. Un visage se dessina et un homme de plus de deux mètres de haut alla s'asoir auprès du viel homme à la barbe blanche.

Cassidi se leva de bon heure se matin là. Il revetit un manteau de fourure d'ours et sortit. Le froid le tirailla au visage. C'était hiabituel en cette saison. Cassidi n'aurrait pas été capable de dire se qui se passait mais tant que cela ne faisait que refridir le temps peu importe. Il salua le garde qui était de poste à la porte du campement et sortit en forêt. Il aimait se promener ainsi le matin. Il flanait, les mains dans les poches, pensant à sa vie paisible en temps de paix. Bien sur, ses gerriers combataient, mais voler les bourses des voyageurs solitaires n'était pas du vrai combat. Cassidi marchait donc, pensant à tout cela, lorsqu'il aperçut un lièvre. Il sefaufila derrière lui, et l'atrapa par les oreilles. Voilà son futur petit dejeuné près à enmporter. Cassid exersa une légère pression sur le cou de l'animal qui se raidit, mort.

Le chef des Rebelles marchait pour rentrer dans son camps lorsqu'un cris de chouette retentit. C'était sans nul doute l'un de ses hommes qui surveillait l'unique chemin qui menait dans son campement. Un homme aprochait, seul. Cassidi se mit à huluter à son tour. Ainsi, l'homme aurrait la voie libre, car c'est l'ordre que venait de lancer le grand homme. Cassidi marcha vite et arriva dans sa hute. Il mit le lèvre à cuir et ala s'assoir dans un coin de son habitation, attendant l'homme.

Au bout d'un quard d'heure, un homme entra dans sa hute, il alla s'asoir près du feu où mijotait le lièvre et enleva sa cape. C'était un vieillard. Puis, il parla, il ne devait pas avaoir vu Cassidi car celui-ci avait hérité du peuple de la Terre la capacité de se fondre dans le decore, mais il sentait sa presence.

"Sais-tu qui je suis Cassidi?

-Le bruit cour qu'Anderlin le roi de la tribus du Vent est en route vers mon campement viel homme."

Cassidi reaparu et alla s'assoir au près de l'homme.

"Quel bon vent vous amène par chez moi Anderlin?"

L'homme alla donc s'assoirr près d'Anderlin. Il était immense et ses cheveux noirs lui tombait en cascade sur les épaule se qui lui donnait l'air encore plus feroce. Il s'assis en tailleur et repondit.

"Le bruit cour qu'Anderlin le roide la tribus du ventest en route vers mon campement viel homme.

Quel bon vent vous amène par chez moi Anderlin?

J'ai bien peur que ce soit le vent de la soufrence et la desolation Cassidi, j'en ai bien peur. La guerre a été declarée dans la pleine. Les tribus se sont divsées et le combat s'organise. Nous avons besoin d'hommes."

Anderlin savait que Cassidi n'accepterais pas tout de suite. Il n'était même pas sur de le voir accepter, mais il fallait tanter le tout pour le tout.

Cassidi pris un bol en bois et servit un morceau de lièvre avec un deuxième bol de soupe au Lard qu'il restait de la veille. Il donna les deux bols àAnderlin e s'en servit lui même deux. Il écoutait Anderlin et ochait la tête de temps en temps. Il avala une gorgée de soupe chaude et finit par dire:

"Je suis concient du problème que vous avez à subire seineur Anderlin et d'ailleur un de mes messagers m'en avait avertis, mais mon peuple n'a rien à voir avec tout cela. Je ne comprend pas pourquoi c'est moi que vous venez voir. Il y a à ma conessence cinq tribus. Les quatre autre sont-elles toutes contre vous?"

Cassidi finit son bole de soupe et son morceau de lièvre. Il s'essuya la bouche du revers de son vetement et pris un morceau de pain. Il en proposa à Anderlin puis il se scoupa un bout de fromage.

"Goutez Anderlin, cela doit vous sembler derisoir mais c'est du fait de chez nous. Nous faisons tout nous même. Mangez, cela vous ferra du bien et vous oublierez vos tourments pendant un instant."

Anderlin pris la nouriture qu'on lui proposait mais il était trop contrarié pour y toucher. Il écoutait Cassidi. Celui-ci ne voulais pas combattre et c'était compreancible, mais Anderlin aurrait préféré savoir le camp des Rebelles de son côté plutôt que de les voir rester indiferant à la guerre qui se deroulait sous leur nez. Anderlin but tout de même un peu de soupe avant de poser son bole sur le sol.

"Je supose que le fait que vous ne soyez pas concernez directement par cete guerre est la reponce à l'absence de reponce à ma lettre. N'avez vous pas lu celle-ci lorsqu'elle disait que la Terre était de mon côté mais que malgré cela, nous n'arriverons pas à vaincre. Je pense que vous etes au courant que le royaume de la Foudre preferera se joindre à Nuada et à Jaspert. Et alors se serra la fin de nos royaume. Mais savez vous pourquoi la Glace entre en guerre?"

Anderlin finit son bol et pris un morceau de pain. Il mangea un bout avec du fromage mais prefera delaisser son morceau de lièvre.

Cassidi avait fini son repas et à present il était assis en tailleur, face à son interlocuteur et il écoutait Anderlin parler. Il se leva et fit les cents pas dans sa hute. Il s'arreta et reressa l'épée acrochée à son mur. Il fit face à Anderlin lorsqu'il lui posa une question. Pourquoi la Glace dessidat-elle de combatte? Cassidi n'en avait auccune idée, et il s'en fichait. Mais après tout, si Anderlin utilisait cet argument, c'est que ça devait être interessant à savoir.

Non, je ne sait pas pourquoi le seigneur Jaspert desire entrer en guerre. Mais je suposse que vous êtes au courant et que vous vous apretez à me dire tout de la vie de votre rivale seigneur Anderlin. Je vous écoute.

Cassidi savait qu'Anderlin trouverait un tas d'arguments plus où moins convaiquant pour faire changer d'avis à Cassidi. Il avait trop besoin de soutien.