Une chapelle abandonnée [pv Alicia]

Baalberith c'était recueilli dans cette chapelle abandonnée qui habitait sois-disant des esprits. Baalberith fût tous de suite attiré par celle-ci en passant devant elle. Il y prépara une petite cérémonie en offrande a son prédécesseur. Lorsque tous d'un coup il sentit une présence

Sans se retourner il dit : Que me voulez- vous ?

hj: je vais etre vraiment vraiment très gentille...

Alicia attendait encore que Tacite daigne lui accorder une audience, et elle décida d'aller se balader dans les jardins qui longeaient la forêt. Elle était révie et étonnées à la fois que des fleurs puissent pousser par un tel froid. Mais on était au mois de juillet, alors c'était peut être normal.

Au bout de plusieurs minutes, elle en eut assez, et décida de se balader dans la forêt. Un remord lui piqua le coeur en pensant que Tacite allait justement choisitr ce moment pour l'envoyer quérir. Elle attendait depuis de longues heures, il pourrait bien atteindre quelques minutes.

Elle descendit et, après avoir longée le bois, se retrouva en face d'une chapelle. Elle était vieille, en ruine, mais avait un charme fou mêlée à un apsect étrangement macabre.

Aussi curieuse qu'une humaine, elle ouvrit la porte qui grinça légèrement, et une odeur de moisi enpli ses narines. des bougies étaient allumées et des pentacles tracés à la craie couraient le long du sol de pierre. Un homme était agenouillé en face de l'hotel. Sa voix était froide et elle frissonna quand il lui posa sa question.

Et bien... Ren, je ne vous veux rien du tout.

Elle s'approcha. c'était la vérité. Elle étaient entrée ici par hasard.

Que faites vous ici ?

Ce n'était pour le juger, mais pour s'informer. Comprendrait il la nuance ?

Baalberith se leva sur ses deux jambes, il se retourna et vît une individue éblouïssante ses yeux n'en pouvaient plus, trop de claireté en elle. Il comprit vite qu'elle n'était pas une personne habituelle. Il remis sa capuche en vitesse pour protèger ses yeux de cette Luminescence éffroyable à son goût. Il glissa quand même quelque mots, d'une voix grave.

Pardonnez moi de me caché ainsi, mais pour des raisons naturelles je ne puis vous regarder. Je me présente Baalberith aux services de ma maîtresse qui enfin dirige la sixième tribu.
Ce que je fait ici ? Je me recueilli simplement tous en essayant de prendre contact avec toutes les âmes perdues dans cette adorable chapelle afin de les capturer à des fins les plus sinistres.
Et vous que faites-vous ici ?

Tête baissé, les mains jointes, Baalberith attendît la réponse de fée aux éclats de lumières étincellants.

Quelle étrange réaction ! La plupart des humains, bien au contraire, se découvraient et lui montraient fièrement le force musculeuse pour tenter de s'attribuer ses charmes. Et lui, rien, il se cachait. Avait il honte ? Etait il laid à ce point ? Ou avait fait il quelque chose de suffisament horrible pour ne plus oser se montrer ? Il était vrai que l'environnement n'était pas très relmuisant.

Et ce ton ! Si agressif ! La sixi-ème tribu... Elle réfléchit à toute allure, plongeant dans ses souvenirs. Jamais Nuada ne lui avait parlé d'une sixième tribu. Elle s'en serait surement rappellé. Mais... Elle était perplexe et n'aimait pas surchauffé son ~~petit~~ cerveau.

Elle se présenta maladroitement, mais avec toute la grâce que sa majestée féérique lui offrait

Je suis Alicia, Reine du feu. Je me baladais juste.

Bien qu'elle ne put voir ses yeux, elle devina son regard scutateur.

Je vous le jure !

Elle recula d'un pas, et par un réflexe qu'elle avait acquis au cours de ces dernières semaines, posa sa main sur la courbe de son ventre. Elle se sentait protégée.

Qui pourrait l'attaquer ? Le renouveau de la vie était la meilleure protection, même contre le Mal.

Ce fut alors à son tour de son montrer suspicieuse. Après toput, elle était ici sous la garde de Tacite. Si quoique ce soit lui arrivait, elle serait forcément vengée.

Et vous ?

Baalberith très gêné de ne pas pouvoir regarder dans les yeux à celle qu'il parlait, tenta malgré tous de se forcer. Il retira donc sa capuche noir au insciptions douteuses de magie noir, puis il essaya en vain de garder ces yeux fixé sur elle, mais la luminosité qui emanait de cette sois-disant reine de la tribu du feu ne fît qu'empirer les choses.

Je suis Baalberith serviteur de la sixième tribu....

Peu de temps après c'est quelques mots ,ces yeux noirs devinrent tous d'un coup blanc ecarlate, ces cheveux se dressèrent sur sa tête. Une sombre envie de semer le mal autour de lui l'envahissa. Et d'une voix plus grave qu'a la normal, il cria d'un tel effroit que les murs tremblèrent

L'Apocalypse viendra tôt ou tard !!!

Baalberith percuta un des piliers qui soutenait le lourd plafond de cette chapelle avec sa claymore qui gisait par terre. Et d'un bruit les plus effroyables qu'il soit la chapelle s'écroula. Alicia reussi à s'en sortir de justesse, mais elle ne trouva aucune trace de Baalberith. Que lui était-il arrivé ?

*Brr... Quel étrange personnage...*

Alicia frissonna. Une force étonnate, un coup de vent glacial, l'avais catapulté hors de la chapelle. Elle s'était retrouvée dans l'herbe fraiche légèrement sonnée et avec un lourd mal de crâne que sa magie allégea, sans pour autant l'effacer complètement.

A petit pas feutré, elle retourna dans la nef. Il n'y avait plus rien qui témoignait de la présence d'un quelconque sortilège satanique. Plus de symbole ni autre délicatesse empoisonné. Juste une sombre odeur de brulé.

Elle fit un rapide signe de croix pour conjurer ce à quoi elle venait d'être témoin. l'annonce de l'Apocalyps... N'importe quoi. Les fées étaient bien trop insouciantes et ravies d'être vivantes pour s'itéresser à de telles croyances. Pourtant, elle pria. Elle s'humanisait. Les fées n'étaient pas censées croire en un dieu quelconque, sauf en Aphrodite, déesse de l'amour, ou Demeter. Elle sourit et sortit.

Au même instant un jeune messager à peine plus petit qu'elle vint à sa rencontre.

Madame, Sire Tacite vous fait demander. Il veut vour recevoir.

Mm.. Très bien, répondit elle d'un air songeur.

C'était une bonne chose. Il fallait qu'elle se change les idées.

Au loin, sur une branche de murier, un corbeau aussi gros qu'un rapace l'observait.

Fin du sujet

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