Enlèvement royal (pv Alicia, Nuada aussi, si tu veux^^)

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 18/10/2007

Déposée là peu avant par son coursier ailé, Merenwar se tenait au pied de la fortersse d'Heimdallire, au pied du chateau de Nuada et Alicia. Au pied de sa consécration. Là-haut, entre elle et le ciel assombri, se dressait le dernier obstacle à son entrée officielle dans la Sixième Tribu. Si elle réussissait, Narcissa ne pourrait sans doute plus la repousser...
Elle sourit en repensant à son unique entrevue avec elle, et leva de nouveau les yeux vers la place forte perchée sur son rocher.

Je viens te chercher, Alicia, murmura-t-elle, et son sourire s'élargit légèrement, dévoilant un peu ses dents blanches.

Elle leva les bras vers le ciel. Répondant à son appel, une nuée sombre descendue de nulle part l'enveloppa, la souleva haut dans les airs, presque assez pour que Merenwar puisse toucher l'astre de sa mère, puis la reposa sur le chemin de ronde. Elle jeta un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche. Pas de garde à proximité immédiate, et d'ailleurs elle se fondait dans la nuit... D'un geste ample, elle appela les nuages à couvrir le ciel, noyant la forteresse dans l'ombre la plus terrifiante qui soit, l'ombre qui fait douter de la capacité de ses propres yeux à voir.
Des cris s'élevèrent, des gardes qui ne comprenaient pas ce qui se passait. Elle esquissa un sourire amusé, puis recouvra son sérieux alors qu'elle se glissait par la remière porte ouverte dans un long couloir éclairé de torches clairsemées.

Alicia avait mis du temps à s'endormir. Elle était profondément tracassée. Maintenant, c'était certain, Tacite était sous l'emprise de forces obscures, et tout, comme Nuada ils se demandaient que faire, car il aurait été un alliée de choix.
En apprenant la brusquerie avec laquelle elle avait été reçu, Nuada s'était enervé, il s'était mis en colère. Les fées n'ont pas de mot assez fort pour décrire la noirceur, le coté sombre des hommes.

Ainsi, c'est en se mordillant la lèvre inférieure qu'elle se glissa sous les couverture pourpre. La naissance approchait maintenant à grand pas, et, à cause de tous les soucis que la guerre avait occasioné, elle n'avait même pas eu le temps de préparer une chambre, une garde robe... C'était décidé. Elle ne bougerait plus d'hemdaillire jusqu'à ce qu'il soit né. Nuada avait bien sur approuvé sa décision. Mais la courbe de son bas-ventre la gênait pour dormir. Elle se retourner, tenter mille positions, mais aucune n'était à sa convenance. Finalement, elle trouva un sommeil léger, entrecoupé par les coups de pied du foetus.

Ombre. Mouvement. Douleur. Danger

Alicia ouvrit grand les yeux. Quelque chose approchait. Son sixième sens de fée le lui indiquait clairement. Elle se recroquevilla sur Nuada, ne sachant que faire.

Nuada, lui, avait trouvé le sommeil plutôt facilement. Il dormait donc comme un bébé quand une Alicia collante de sueur se colla contre son dos. Après un petit grognement, il se retourna et passa son bras autour des frêles épaules de sa femme. Depuis combien de temps n'avait-il pu la toucher, seulement la rêver?

Il ressera doucement son emprise sur son épouse. Il sentie alors les coups de pieds de l'éboche d'enfant, niché sous le nombril de la fée, donné des coups de pieds frénétiquement. Qu'est-ce-qu'il pouvait être agité... Il ne manquait plus qu'il est la parole et la nuit serait fichu...

*Habitues-toi, ça sera comme ça toutes les nuits...*

Que puis-je faire pour vous alléger cette nuit, à tout les deux? demanda dans un souffle Nuada à l'oreille d'Alicia.

Il posa doucement ses lévres contre les siennes. L'embrassant, il se jura d'éliminé le plus rapidement possible toutes les menaces possibles pour qu'ils puissent, tout trois, vivre tranquillement...

Rââ... ces humains avaient beau être des génies à la lumière du jour, il n'était pas capable de ressentir la nuit tout ce que les autres êtres voyaient aussi clairement qu'en plein soleil. Il avait beau être un ange, courage et vigueur mêlés en un corps quasiment parfait, quand la lune se levait, il n'était rien qu'un animal amputé de ses sens.

Cependant, le contact de leur peau s'entremêlant lui fit du bien. Elle n'était pas seule. Mais elle devait le prévenir, il devait savoir ! c'était important. Il l'embrassa et elle s'abandonna quelques instants à cet instant merveilleux, la raison lui revint vite. Elle se débattit, s'arrachant à son étreinte. Elle se hissa sur ses coudes et lui murmura de haut, lui qui avait encore la tête enfoncé dans des oreillers moelleux.

Il y a... je ...

Encore une fois, son élocution et sa syntaxe maladroites lui faisaient défaut. Elle poussa un râlement enragé. Maudite langue humaine qui lui échappait dès que son coeur battait trop vite! Elle grimaça.

Elle rouvrit la bouche pour réessayer, mais elle n'eut pas le temps, une ombre noire s'abattit sur ses épaules.

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HJ>>>> On va pas attendre Merenwar. On a qu'à dire que t'arrive à tuer la bête qui m'attaque.<<<<< HJ

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Nuada senti une chose arrivée. Il le senti vraiment, puisque le matelat se creva, et déversa des plumes sur le couple. Il toucha brusquement, dans un mouvement de recul, la chose. Elle semblait faite de plumes, mais des plumes de métal. Une de ses plumes ouvrit légèrement la paume de Nuada.

En temps normal, Nuada aurait déjà sortit sa lame, et surement pourfendu le monstre. Mais, fatigué, réveillé brutalement par sa femme, avec ses petits pieds froids, il n'était pas au top de ses capacités. il essayait d'attraper sa lame, mais se rappela qu'elle était de l'autre coté de la chambre. C'est ça, le problème avec les grandes chambes; le temps qu'il aille chercher sa lame, sa femme aurait déjà été bouffée, ou enlevée, selon les humeurs de la chose. Alors il essayait d'attraper le cou du piaf. S'ouvrit complétement les paumes. Criant de rage, il retira ses mimines. Sa femme, elle criait à pleins poumons. Un viloent mouvement d'aile vira Nuada du lit.

L'oiseau allait s'envoler!

*Calme-toi, récupère Khan*

Il traversa la chambre à toute vitesse, pour trouver sa lame. Les courant d'airs se faisaient de plus en plus violent et rapide. Il allait s'envoler!!!!

Puis il trouva sa lame. Sauta, la lame vers le bas. Manqua de coupé sa femme en deux, mais toucha l'oiseau. Enfin, rebondi contre l'oiseau et ses plumes de métal. Il roula à terre, dégoûté, et on ne pouvait plus triste. Il allait perdre sa femme.

Lorsque l'oiseau pris feu. Plumes de métal, peut-être, mais plume quand même: elles prenent vite feu... Il vit une forme au généreuse courbe fémimine tomber de l'oiseau. Nuada se précépita pour récupéré sa femme, quand la porte s'ouvrit violemment. C'était seulement maintenant que les gardes arrivaient! La carcasse brûlante de l'oiseau essayait de s'envoler. Sauta, puis tomba, et s'écrasa contre le sol. Regardant par la fenêtre, Nuada vit une personne, pès de l'oiseau, disparaitre.

Alicia ne vit rien, malgré sa vision nocturne. Trop de bruit, de mouvement et de... plume. Etrange... Des plumes de métal... Des plumes noires d'un oiseau malade et maléfique. Tchang ! Aoutch ! Une aile noire lui coupa la pomette droite. elle cria, plus de surprise que de douleur. Un filet de sang gicla autour d'elle et se mit à couler abondament le long de son cou, sur sa poitrine, tâchant sa nuisette bleu claire. Soudain, Nuada surgit de sous les draps. Etonnant. Il bondit, mais Alicia ne vit rien de plus, car elle sentit qu'elle s'enfonçait, très loin dans les couvertures, et... Boom, se ramassa sur les fesses en tombant du lit. elle gémit, et comme ça ne suffisait pas, elle entrevit la lueur d'une lame passait à quelque centimètre de son nez, qu'elle avait fort joli.Heureusement, son propriétaire l'enjamba et frappa.

Elle sentit que tout tournait autour d'elle, s'en était trop, elle se laissa tomber et se cogna la tête. Elle souffla. La porte s'ouvrit en grand.

Des gardes vêtus de leur si magnifique... tenue de chambre, se dirigèrent vers elle, d'autres vers l'oiseau qui s'était transformé en ... Demoiselle ? Non, Alicia voyait à travers les gens. ce n'était pas une humaine. ses cheveux étaient trop noirs, sa peau trop blance, ses yeux trop rouges et sa poitrine trop grosses. ca n'existait pas les filles comme ça !

Elle entendit un des hommes qui la soutenait faire un commentaire sur Nuada, et elle lui enfonça son coude dans le ventre. Il grogna, et elle fit mine de sortir de son état comateux, mais un sourire mesquin qui voulait dire "tais toi imbécile!" lui passa l'envie de commenter encore.

Et comme si sa tête ne faisait pas assez mal, comme si son dos ne craquait pas assez, son ventre s'y mit. Une violente contraction. Et de l'eau. beaucoup trop d'eau.

*Ho non pas ça...* aurait pensé une conscience humaine.

mais Alicia n'était pas humaine, n'était prévenue de rien et hurla.Hurla, hurla, hurla. Elle n'avait jamais prévu ça. Pourtant, c'était évident. Enceinte allait de paire avec accouchement. mais c'était trop pour elle. Une panique, une phobie. Son cerveau plus animal qu'un être humain résonnait ainsi. Pas de contrôle égal danger. Elle criait. Elle ne pouvait pas s'en empêcher.

C'en était trop pour Nuada. Il était réveillé au milieu de la nuit par sa femme, puis attaqué par piaf aux ailes de métal, qui lui ont d'ailleurs ouvert les paumes, puis balancé de l'autre coté de la pièce, a brûler le monstre pour voir que c'était une très belle femme, qui c'est enfuie d'ailleurs, et ce'st à ce moment que sa femme choisissait d'accoucher. Regardant par la fenêtre, il hésita à sauter pour rejoindre l'inconnu.

Il se tourna vers ses hommes, pétrifiés, qui ne savait que faire.

Allez chercher un médecin et installez-la dans une autre chambre! hurla-t-il à ses empotés.

Se fut rapidement fait: ça femme était confortablement installée, même si sa situation n'était pas confortable, elle. Le médecin arriva rapidement, et s'enferma dans la chambre avec Alicia. A Nuada d'attendre pendant des heures à la porte...

FIN DU SUJET

(avant que ca devienne trop zarb pour les pauvres yeux de Nuada. Ou trop cucu, a toi de voir...°

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