Présentation de Madaren

Après neuf mois d'attente, le jour J était arrivé. Ils l'avaient attendue. Ils l'avaient désirés. Le symbole de l'accomplissement de leur amour, le but même de leur union. Un enfant. Une petite fille.

Ses yeux étaient plus bleux qu'un ciel d'été, ses mèches blondes voletaient autour de son front et de ses pomettes roses. Des lèvres rouges, qui ne pourraient qu'être charnues quand elle serait femme. Elle était belle mais pure bâtarde. Croisement étonnant entre une fée et demi elfe, on aurait pu croire à sa difformité mais, loin de là, sa différence était source de perfection. Son côté fée lui donnait beauté et joie, sa partie elfe grâce et noblesse et ces racines humaines que l'ont auraient pu croire grossière et mal taillées aux coté de la perfection des deux autres lui metteraient les pieds sur terre mais lui offrirait la logique qui avait poussé les humains à être ce qu'ils étaient. Ces mains fines et ses oreilles pointues souriaient à la vie, et l'on n'aurait pu rêvé une plus jolie fillette. Elle ne pleurait pas, riait aux éclats. Elle était le rayon de soleil de ses parents, mais toute la poésie qu'offrait la nuit se réunirait un jour dans ses babillements qui semblaient n'avoir ni queue ni tête.

Alicia, pour cette grande occasion, s'était donnée beaucoup de mal. Son mari, son roi, était à la guerre et elle s'était chargée de tout faire seule, ce qui avait causé quelques dommages dans son cerveau de fée. Heureusement que certains majordomes, les meilleurs du pays, l'avaient assistées, et elle avait pu réussir tous ces projets.

Quand Nuada, érreinté, épuisé par cette fameuse Bataille d'Elios qu'il venait de livrer avec ces troupes, il n'avait eu qu'une idée: se reposer, dormir, et manger. Sa fille, il la connaissait déjà, Alicia n'avait cessé de lui en parler et l'annonce d'une guerre avait presque était délivrance à ses yeux. Et là, il revenait et elle lui sautait dessus, trop heureuse de lui annoncer la réception distinguée qu'elle avait préparée.

La jeune reine n'avait franchement pas compris ses bougonnements, mais elle les avait pris pour des acquiescements. Et la voilà, toute fraîche, toute rose dans une robe magnifique de velour rouge, son étole préférée, de mousseline bordeau... Un mélange fameux et étincelant.

Madaren aussi avait fière allure mais d'une manière plus simple. La popeline blanche de sa tunique lui tombait bien plus loin que les pieds, mais cela importait peu à sa mère, qui se faisait au contraire une joix de la porter. Elle était heureuse, tout allait pour le mieux.

hrp:donc c'est après la bataille... okay, j'adapte mon perso:/HRP

La vie d'Anderlin venait de basculer pour de bon. Eolios, sa si belle cité, la capitale de son majestueux royaume venait de tomber aux mains de la Sixième Tribus. En effet, après une longue et fatigante bataille, après des centaines de morts dans les deux camps, le château avait été livré aux forces du Mal par un lache, un gueu, e capitaine de la garde personnelle d'Anderlin (voir plus tard). L'homme avait au dernier moment renversé le pouvoir alors que les hordes maléfiques frapaient à la lourde porte du Château de la Brise. Anderlin avait perdu son trone et un de ses hommes de confiences avait pris le control de la cité le temps de laissé le pouvoir à la reine de la sixième Tribus.

Ainsi, depuis quelques jours, Anderlin, puissant Mage bannis par les siens arpentait le continent à la recherche d'une puissance magique qui renverserait le gouvernement provisoire qui sous les ordres de la redoutable Narcissa et qui avait à sa tête l'exe chef de la garde d'Anderlin, mais qui serait aussi capable de délivrer Eolios de la poigne de fer des Ténèbres. Anderlin semblait avoir vieillit de dix ans, son regard était toujours le même, mais il ne souriait plus, sa barbe avait perdu de sa splendeur (alors shampouine la avec L'OREAL!!!) et sa position si droite au paravant était à présent légerement courbé. Mais par un miracle qu'il ne s'expliquait pas, il était en vie. Il avait tenté d'en profiter, mais à quoi bon.

Puis, peu de temps après sa cuisante défaite, il avait ressus une invitation. Elle lui donnait rendez-vous en terrain neutre, pour célébrer la naissance d'une jeune princesse. Curieux de voir la jeune fille de Nuada, paladin et roi du eu qui avec lui avait combattu à Eolios, Anderlin y alla.

Dans une brise discrete, le vieu Mage apparu dans une petite ruelle non loin de la salle des fêtes du Port de la Nation, ville Neutre, la seule du continent. Encapuchoné pour ne pas se faire reperer par d'éventuels Elementaires du Vent, car la tête d'Anderlin avait été mise à prix par le gouvernement provisoire selon lequel Anderlin était un Tiran qui avait participé à la destruction de son royaume en voulant combattre la sixième Tribus. Son sceptre, habilement transformé en vulgaire bâton sur lequel prenait apuis un pelerin vetus d'un triste menteau, n'était pas moins redoutable et Anderlin gardait encore toute sa force Magique.

Arrivé devant la salle des fêtes, le Mage poussa la porte et dés qu'il l'eu refermé, il se decapuchona. Son regard fit le tour de la salle et il vit alors la femme de Nuada, Alicia. Elle tenait dans ses bras une petite fille blondes aux joues roses. Un leger sourir apparu au coin de la bouche du viel homme, le premier depuis la bataille. Anderlin s'approcha de la reine et s'inclina car à present, elle lui était superieur bien que d'un royaume different.

Mes ommages votre magesté, et toutes mes félicitations.

hrp:c'est pas parceque je vous ai donné une grosse partis de la suite des évenement qu'il ne faut plus poster dans la bataille. GROUILLEZ VOUS!!!! (je vien de remarquer que vous attendiez peu être qu'un certain ordre de passage lors des posts devrait être respecté, inutile d'attendre et poster dans l'ordre qu vous voudrez.)

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