Ultimatum et conseil de guerre

hrp:Tous les chefs de tribus sont attendu dans ce post. Il sagit d'un conseil de guerre en terrain neutre, acune armée ne doit être là. En revanche, chaque chef de clan doit envoyer un Mp à un membre pour lui servir de temoin, de second.

Le soleil s'était levé depuis plusieur heures ce matin là, il était dix heures. Comme chaques matin, la place était encombrée par des centaines d'étalages de marché. Des chariot progressaient avec peine parmis la foule et le sol était jonché de choses plus où moins propre. Pourtant, pamirs la foule des paysans, s'avançait un homme discret, il ne vulait pas se faire reperer. Il était des plus respectables de tout le pays, en effet il sagissait du roi du peuple du Vent, Anderlin le Juste. Sous sa cape de voyage grisonante et son capuchon de la même couleur, il était impossible de reconnaitre le viel homme à la barbe blanche comme la neige et au visage presque sans ride. Il s'avanssait, se faufilant entre les paysans de toutes les contrées venu acheter où vendre quelques bêtes où produits du terroir. Anderlin ne ressemblait vraiment à l'un d'entre eu dans sa tenu, il avait même jetté un sortillège d'illusion pour faire croire à tous les passants qu'il croisait qu'il n'était qu'un vieu malade tout rabougri apuiyé sur un baton vulgaire et mal taillé qui était en faite un sceptre puissant et d'une beauté inegalable.

Derrière Anderlin marchait une autre personne encapuchoné, il sagissait de son aprentit mage noir le plus doué, Irrakimus. Ils marchaient vite en ne s'adressant que très peu la parole.

"Et souvien toi Irrakimus, n'utilise tes armes qu'en derniers recourt, nous serrons dans une pièce ou se trouverons tous les hommes et femmes les plus puissant du pays. Tien, nous voilà arrivé."

Anderlin s'arreta devant une petite boutique fermée et lugubre. La vitrine était obstruée par des planches et l'e,seigne qui indiquait une vieille épicerie gisait sur le sol. Anderlin tapota les planches qui bloquaient la portes et celle-ci se detachèrent pour aller se poser sur le sol. Anderlin penetra dans la boutique, il y faisait sombre et une couche de poussière recouvrait le sol. Irrakimus s'arretta à côté de lui, puis, les dux hommes se regardèrent, le sortillège d'illusion qu'avait jetté Anderlin sur le lieu était réussi. D'un claquement de doigt, tout disparu et la salle se trouva éclairée par une centaine de chandelles. Une immence table ronde apparu au centre de la vaste salle avec six sièes. Chaccun de ses sièges portiat le nom d'un chef de clan. Anderlin alla s'assoir à son siège et Irrakimus pris place derrière lui. A presents, les deux hommes attendaient les autres chefs qui penetreraient dans quelque instants dans la boutique à première vu en ruine.

"C'est incroyable ce que l'on peut faire avec un peu de magie. Tu ne trouve pas Irrakimus?"

Nuada la tenait par le bras. Ils ne s'étaient même pas donné la peine de traverser la ville et c'était arrtêté en palanquin juste devant les marches de la Salle du Conseil. Elle cru qu'on se moquait d'elle quand elle vit la ridicule petite boutique. elle allait faire une remarque désobligeante, mais d'un coup d'oeil sévère Nuada, la fit taire (ouou, c'est un alexandrin). Il ouvrit la porte et ses bottes de cuir se plongèrent dans cinq centimètre de boue. Alicia réprima un haut de coeur. Elle était loin de l'endroit où ils s'étaient rencontrés pour la première fois. Nuada avait tenu à ce qu'elle s'habille bien, comme une grande dame, et elle avait obéi de bon coeur parce qu'elle avait toujours vécu jusqu'alors soit à poil dans la forêt, soit dans les uniformes hideux de la terre.

Sa robe longue et bouffante était d'une couleur rouge ondoyante et illuminée par de multiples reflets. Son corset noir se prolongeait par deux manches à froufrou qu'elle porrtait avec une paire de gant rouge, ainsi qu'une rivière de rubis autour de son cou.



Elle sortit en prenant la main de son chevalier. Ils entrèrent dans la salle et elle ouvrit ses lèvres rouges dans un "o" muet, ébahie qu'une si grande salle puisse se cacher sous une telle boutique.

hj : trouve toi une robe, Zardann, Sindanrie aussi. Vous pouvez aller sur Viona-art.com. Y a aussi des trucs pour les hommes, mais c'est plus gothique.

Tout en regardant la jeune femme qui s'habiller ridiculement a un conseil de guerre, la Reine de la Terre écoutait Anderlin. Il présentait Cassidi qui avait une jeune femme dèrrière lui, et racontait "les betises" de l'épouse du roi du feu.

Zardann essayait de se stabiliser, elle se voyait étrangler cette jeune personne en lui disant qu'elle lui avait pri sa place et qu'elle n'aurait jamais du être dans les élémentaires de le terre. Peut etre que tous le monde se concentrait sur elle, car le regard D'Anderlin croisait celui de Alicia. La reine de la terre voulait bruler cette robe, la déchiré et tuer par dessus tous Nuada. Elle se mit encore plus dans le col de sa capuche cachant les sourires qu'elle fesait en pensant a ses plans qui défilaient dans sa tête.

Et attention la question qui tue "Savez-vous pourquoi nous sommes réunis ?" Mais bien sur vieillard. Zardann voulut rire. Mais... cela serait mal perçu par tous le monde et plus personne ne voudrait s'allié avec elle. Peut etre qu'elle avait du monde dèrrière elle mais ça ne suifisé pas tous ça. Elle regarda Anderlin et se leva. Elle mit sa cape juste pour qu'on voit son visage, car pour rien cacher Zardann avait deja pas mal d'arme sur elle dèrrière cette cape enfin elle avait une belle tenu de guerrière et sa grande chevelure.

"Vous savez nous sommes en temps de petit conflit par-ci par la ça tous le monde le sait, mais un grand conflit vient d'éclater et la guerre ne peu être inévitable. Regardez-vous tous, vous avez j'en suis sur chaqun une raison de vous battre pour quelque chose ou plusieurs choses... Zardann lança un regard a Alicia.Et je suis sur que la motié d'entre vous a deja hate de passer a l'action."

Zardann fit un signe de main a Sora et s'assit, en attendant les réaction elle fixa la table et continuait a cacher son visage.

La guerre était inévitable. Les propos de Zardann, à peine voilés, sont regard pour son épouse... Le Feu auarit au moins à faire au camp de la terre, ça s'en était certains. Combien la suivrait? Combien le suivrait? Combien de batailles, combien de morts? Telles étaient les questions qu'il fallait dorénavant se poser. A Heimdallire, si on avait suivit ses ordres, la population devait être rassemblée et équipée.

Certes, nous avons des raisons de nous battre, mais cela ne pourrait-il attendre? Les Ténèbres n'ont plus fait grand-chose ces derniers temps, cela laisse à supposer la préparation d'une invasion massive. Pourrons-nous redevenir alliés à ce moment, et surtout survivre? Je ne le crois pas. et, dit-il en croisant le regard de Zardann, les raisons de guerres de certains sont minimes et ne devraient pas déclencher cette guerre que je sent toucher tout le monde.

Mais que pouvait-il faire? Zardann avait perdu une couronne, Anderlin avait failli y erster chez Jaspert, et Cassidi, lui, était pourchassé par la plupart des nobles du Feu. Ces trois allaient surement s'allier, et il ne restait à Nuada qu'à convaincre Sindanarie et Jaspert, désespérément absents, de se battre avec lui.

L'ambiance était tendu. Nuada était avec sa femme, que les gens n'hésiteraient plus à appeler "cause de la guerre", face à Zardann, et son compagnon. Et Zardann, pour courronner le tout, n'attendait qu'un mot d'Alicia de travers pour se jeter sur elle.

Sindanarie, drapée dans une longue cape noire destinée à masquer sa longue silhouette, entra au pas de charge dans la salle où bon nombre de gens qu'elle connaissait, sinon personnellement, du moins de vue, étaient rassemblées. Nuada et Alicia, Zardann et Anderlin et un homme qu'elle pensait être le chef des Rebelles. Curieuse faction que celle-là...
Rejetant sa cape en arrière, découvrant une dague et une épée bâtarde ceintes sur une simple tunique, elle prit place parmi les présents, saluant chacun, mais avec un salut plus appuyé pour Nuada, auquel elle glissa en passant:

Désolée, mais sachant que manifestement la guerre semble inévitable, je préfère amener ça.

La proximité du Feu et de la Foudre était incontestable, mais elle préférait écouter ce que chacun avait à dire avant de prendre une décision pour elle et pour sa propre tribu. Quoique ayant confiance dans la puissance de sa tribu, à mi-chemin entre terre et ciel, elle ne voulait pas ouvrir à ses amis et ses frères de sang une route vers une mort certaine. Se promettant de ne pas prendre parti avant que tout soit dit, elle se rencogna dans un coin, et attendit.

Devant le silence obstiné qui s'installa pendant de longues minutes, elle reprit la parole :

Je vous ai écoutés parler alors que je me tenais derrière la porte. Oui, j'écoute aux portes, et je me voile comme vous voilez vos paroles. Vos paroles voilent ce que vous voulez, vous vous masquez derrière de vagues généralités. Parle, Zardann ; parle, Anderlin ! Vous deux savez que vous voulez la guerre, nous le savons tout autant. Le seul des intentions duquel je ne sais rien est Cassidi. Parle, Cassidi ! Parlez enfin, vous tous, que cette affaire ne vous déshonore pas ; parlez pour laver cet honneur que vous estimez offensé. Parlez ! Si j'ai proposé mon soutien aux Rebelles, c'est parce que je les croyais en danger. Depuis j'ai appris beaucoup sur eux. Mon affinité va par nature au Feu, car je représente un feu qui traverse le ciel et la terre. Alors je vous le dis clairement : je défendrai le Feu, ce qui signifie que je défendrai Nuada et sa femme, quelles que soient mes opinions quant à leur union. Je vous défie de me faire mordre la poussière, je vous défie d'avoir le courage de vos opinions !

Sindanarie avait refermé son poing sur la garde de son épée, en prévision d'une réaction violente à ses paroles. Elle espérait ne pas avoir à s'en servir si tôt.

Anderlin écoutait attentivement Sindanarie parler. La main de la reine de la Foudre se refermant sur la garde de son épée ne lui avait pas échapé. Il ne broncha pas et la laissa parler jusqu'au bout. Puis, elle arreta de parler et resta debout. Le roi du Royaume du Vent se redressa, son sceptre à la main mais sur son visage, on ne pouvais lire aucun signe d'enervement. Il s'eclaircit la gorge. Et regarda la petite assemblé. Seul Jaspert restait absent.

Bienvenus parmis nous Sindanarie. J'éspère que vous n'avez pasété acomodée par le voyage. Ne vous en faite pas, je n'ai nulement l'intention de m'attaquer directement à vous et aussi vous pouvez lacher votre épée. Certe oui nous somme en temps de guerre, mais si je vous ai fait reunir ci, ce n'est pas pour savoir qui ira avec qui, mais plus pour connaitre les raisons de chacuns et pour tenter de négossier une paix durable. Voilà un moment que nous n'entendons plus parler de la sixième tribus et pourtant malgré les effort de certains de nos guerriers, elle est encore prensente. Pendant longtemps nous avons été alliés, et personnelement, si j'ai dessidé d'entrer en guerre, c'est pour la simple et bonne raison que Jaspert le Sage qui n'a pas eu le courage de se presenter, desirais eradiquer le camps de Cassidi pour une raison confuse. Je m'y suis oposé et c'est tout. Mais si nous pouvons trouver un terrain d'entente, se serra bien mieu que de perdre une partit de nos sujets qui n'ont rien à voire avec se conflit. Et d'ailleur...

Mais Anderlin ne termina pas sa phrase car un jeune homme essouflé arriva dans la salle. Il tenait à la main une enveloppe pour chacun des chefs de clans presents dans la pièce. Il s'avança lentement intimidé par la scène qu'il avait devant les yeux.

Peut-on savoir qui vous envoie jeune homme?

-C'est le seigneur Tracite, empereur de la Glace qui m'envoie à votre rencontres mes seigneurs. Il me demande de vous porter ces missives.

Le messagé fit le tour de la table distribuant une enveloppe à chacun des chefs d'Etat. Anderlin se rassit dans son siège et décacheta son enveloppe. Il parcouru la lettre qui dissait ceci:

Du: 30 mars 1244


Je tiens à informer,aux différents seigneurs voisin que l'empire de la glace se retire d'une guerre qui n'a lieu d'être,je garantie aux Rebelles de n'être attaqué par le royaume parlementaire(monarchie limitée par un parlement) que je représente,ceci vaux également pour le royaume d'Anderlin à qui je reverse un tribu de deux millions trois cent trente mille pièces d'argent,les engagement ayant été pris par Jaspert Le Sage vis à vis du Seigneur Nuada et de ses alliés sont donc tous révoqués,mon royaume se déclare neutre vis à vis de cette guerre et toute personne voulant troublé cette neutralité sera considérée comme ennemie du royaume!!!

Tacite, seigneur des terres gelées

Anderlin reposa le parchemin sur la table et surpris, il finit par dire:

Il me semble que la Glace se retire de tous combats, voici un problème de reglé.

Zardann avait du mal a entendre tous ce que disais les autres, elle était troublé... troublé que ce soit facile a Nuada de s'en tirer. Car apparamment Cassidi se retirait de la guerre et Jaspert le Sage aussi. Le vent va surement se retirer, donc la terre est seule face a le feu. Zardann n'était pas vraiment d'humeur a faire passer tous ça. Elle préféra ne rien dire. Son serviteur: Sora la sentait tendu. La reine de la terre "surpême" fit un geste de la main et du doigt pour demander a Sora d'approcher. C'est ce qu'il fit, elle lui murmura quelque chose a l'oreille longuement. Elle avait l'air de réfléchir. La Reine avait une idée dèrrière la tête c'était sur. Zardann était surement "pouf" mais pas a ce point pour devenir une crétine. Elle se leva de sa chaise, Sora recula et elle enleva sa capuche de cape pour la première fois. Sa chevelure longue tomba sur ses épaules et ses yeux de perles pénétrairent dans ce de Alicia. Elle ouvrit les lèvres doucement et dit:

Je renonce a la guerre. Mon peuple ne veut pas souffrir et j'en prend en compte dans ce que je vous dit la. La Terre se retire de ce conflit et retire toute charge apporté a des personnes ayant fais des crimes envers la Terre.

Zardann se rassit et attendit la réaction des autres... mais surtout celle de Alicia et de Nuada...

Quoi ? Comment ? Tacite ne participerait pas à la guerre ? Comment était ce possible ? Elle se pencha sur l'apaule de Nuada pour relire la missive. Sa bouche forma un "o!" indignée, et, furieuse, elle foudroya du regard le jeune messager, qui la dévorait des yeux (gniak gniak) et qui se tassa sous sa puissance. Elle se retourna pour croiser le regard de son mari et lui faire partager ses ressentiments, mais il était trop occupé à écouter les autres Seigneurs de la guerre.

Alicia décida de les écouter plus attentivement. Déjà, Cassidy se retirait, ce qui était en soi une bonne chose. Deux contre serait toujours plus simple que trois à deux. Mais... Zardann aussi ! Etait elle stupide ? Pouvait elle oublier la mesquinerie et le cynisme féminin aussi vite ? A force d'etre entouré de ses généraux, elle était devenu aussi peu raffiné qu'un homme. Pour un peu, Alicia se serait lever pour mla gifler et rouvrir la guerre.

Une pensée traversa exceptionnelement son esprit. Voulait elle la guerre à ce point ? Avait elle épousé Nuada pour déchirer les tribus ? Comment pouvait elle penser à de telles horreurs ? Non, bien sur que non, l'enfant qu'elle portait n'était que le fruit de l'amour, rien de moins.

"Les fées sont dotées d'une intelligence médiocre"

Quelqu'un, un humain, avait écrit cela une fois. C'était bien sur faux, les fées avaient autant de cervelles qu'un homme, mais pour une fois, Alicia fut bien contente de se trouver une excuse. Elle reprit ses esprits. Et elle concerta du regard Nuada qui la regardait.

Que faire ? souffla t elle. On ne peut pas abandonner la guerre. Notre armée est prête. Elle a besoin de se battre.

Les uns après les autre, les visages marquère l'expresion de la surprise, et peux à peu, les chefs de Guerres abandonnaient toutes formes de combat. Même Zardann après s'être concerté avec le jeune homme qui l'acompagnait dessida de se retirer du conflit. Anderlin relut la lettre pour être bien sûr de son contenu et trouva la partit qui le consernait, Tracite acceptait de reparer les affront de Jaspert en se retirant du combat et en payant un tribus au royaume des Vent. Parfais.

Voilà une lettre qui vien tout chambouler. Puisque Tracite tien à reparer les erreurs de Jaspert, je ne vois pas pourquoi mes soldats attendraient le combat dans l'anguoise de ne jamais rentrer chez eux. Je me retire du combat. Si mes comptes sont juste, voici un camps totalement retiré, la guerre n'a donc pas lieu d'être.

Anderlin sortit un bout de parchemin de sa tunique et écrivit avec une plume qui venait d'aparaitre sur la table. Puis, il demanda à Irrakimus de s'aprocher et lui tendit le parchemin qu'il avait enroulé.

Apporter cela à tous les troubadours du royaume Irrakimus et faite en sorte qu'ils annoncent à tout le monde que la guerre ne nous concerne plus.

hs: c'est pas de chance, onavait lancé une super intrigue et le nouveau bloque tout, mince

Sindanarie se tourna vers Nuada et Alicia, surprise par le tour que prenaient les événements. Etrange, en vérité. Bien étrange que la reine de la Terre, Zardann, se retire si aisément du combat, malgré l'offense qui lui avait été faite. Etrange que Cassidi change ainsi d'avis. Etrange, la soumission soudaine de la Glace.

Elle retira la main de la poignée de son épée.

Eh bien, pardonnez mes sans doute trop vives paroles.

Comment la guerre pouvait-elle se finir aussi rapidement? Zardann avait raté la couronne, et elle n'abandonnerait pas ainsi. Mais, que pouvait-elle faire, seule? Tacite se déclarait neutre, cela réglais la question du Vent et des brigands. Zardann se retrouvait seule pour faire la guerre. Contre les Royaumes de Feu, allié au Terres de Foudre, elle n'aurait eu aucune chance, telle était sûrement la raison...

Ce n'est que partie remise, murmura Nuada à l'attention de sa femme.

Si je comprends bien, ce Conseil n'a plus de raison d'être, puisque le problème est réglé? lança Nuada, cette fois-ci à l'attention de toute l'assemblée.