Le Tournant de la Guerre (tout le monde est demandé)

Le soleil se levait sur la magestueuse capitale du Royaume du Vent. La lumière naissante faisait resplendire de mille feux les pierres blanches de chaque batiments de la cité. La porte du château du Roi de la Trius du Vent s'ouvrit. Des dizaines de gardes sortirent du château suivit par un viel homme assis sur son cheval. L'homme habillé d'une tunique blanche avait beau être agé, il se tenait plus droit que la plus part de ses soldats. Son cheval de cet homme était lui aussi blanc comme neige. Dans la main, l'homme tenait un sceptre et sur sa tête reposait un diadème argeté sertit de pierres precieuses venus de contrées loingtaine. Il s'agissait du Roi Anderlin.

Dans la ville ainsi que sur les ramparts du mur d'enceinte et du château se tenaient des centaines d'hommes,vetus de longues tuniques blanches qui étaient leurs uniformes. Celon leur position, ils étaient armés d'arcs, d'épée, de lances... Certain n'étaient que des adolecent, mais ils portaient tous leur uniforme et leur arme avec fierté.

Un homme arriva en courrant au-près de son roi qui arpentait les rues sur le dos de son cheval.

Seigneur, les éclaireurs avaient dit vrai, une armée de plusieurs dizaines de milliers de soldats s'approche de votre cité. Ils viennent des terres de la sixième tribus.

-Oui... comme prevus... malheureusement. Mais pour ce qu'y en est de nos troupes, sont-elles toutes en places?

-Oui Monseigneur, le capitaine Logwen se tien prete sur les remparts de la ville avec les archés... et des soldats armés de lances et d'épée se sont déployés dans les rues de la capitale. L'armée est prete à defendre Eolios.

-Bien bien, alors tenez vous pret vous aussi capitaine Gorgonhan. Mais en se qui concerne les autre Tribus, doit-on s'attendre à une aide de nos voisin?

-Je n'en ai aucune idée monseigneur... nous n'avons aucune reponce des messagés que nous leur avons envoyé.

Pour vus que les messagés n'ai pas été intercépté par les troupes de la Sixième Tribus... Où donc est mon épée capitaine?

Le soldat à la Tunique blanche tandis alors une épée argenté dont la poignée était incrustée de pierres toutes aussi precieuses que celles du diadème. Puis, le capitaine Gorgonhan disparu au coin d'une ruelle suivit par son bataillon de soldat.

Anderlin mena son chevla devant les grande porte de la ville, son épée dans la main droite et son sceptre dans la gauche. Derrière lui se tenaient les soldats de sa garde personelle, épée à la main et bouclier devant eux. On entendit alors au loin les tambours des troupes enemis... la guerre allait prendre un nouveau tourant grâce à cette bataille, mais qui aurrait put dire pour quel camps elle serra favorable? Personne de ceux reunis derrière les fortifications...

Le soleil éclairait la si belle cité d'Eolios. D'ordinaire déjà, elle brillait sous la lumière de l'astre divin, mais aujourd'hui plus que d'habitude. En effet, un éclat métalique renvoyait la lumière vers le ciel, des centaines d'hommes armés se tenaient droit, près au combat.

La veille au soir, un éclaireur était revenu en sang et éssouflé pour annoncer au Roi Anderlin que les Troupes de la Sixième Tribus marchaient sur Eolios. Immédiatement, le Mage avait donné l'ordre à tous ses soldats et à tous ses gardes de gagner leur posts de defence. Et la jeune Logwen s'était retrouvée sur les remparts de la ville, à la tête d'une centaine d'archés près à envoyer leurs flèches sur les troupes enemis.

La nuit avait été fraiche et Logwen était assise contre les crénaux des remparts, emmitouflée dans une couverture, se frottant les épaule dans le but de se rechauffer. Son arc et ses flèches reposaient à côté d'elle. La rosé faisait perler la corde de son arme. Logwen voyait le visage inquiet de certains archés qui n'avait même pas encore vingts ans. Leur seule cibles jamais poursuivit ne devaient être que du petit gibier, des chasseur de lapins pour la plus part. L'aventage, c'est que cette fois-ci les cibles serraien plus grosse, et donc il y avait plus de chance d'en toucher. L'inconvenient, c'état que kes cibles étaient armées et risquaient de vouloir se defendre.

Logwen se releva pour contempler la plaine qui s'étendait au pied de la ville. Au lin, on pouvait voir des nuages de fumée s'élever dans le ciel, des villages avaient été brulés. Soit à cause de Lordre d'Anderlin qui demendait à se qu'aucune vivre ne puisse être prise par l'adevrsaire, soit parceque les troupes du Mal avançaient plus vite que prevu...

Un grand bruit courrait dans les rues d'Heimdallire. Les hordes de la Sixième Tribu avait lancées leurs troupes contre Elios. La populace, sitôt avertie, pris les armes, équipée par les vastes réserves d'armes de Nuada.

L'armée qui s'assembla ainsi était composé d'environ 15 000 hommes. 10 000 était armées d'armes blanches, les 5000 restant d'arcs et d'arbalétes. Très peu d'archers donc, mais une cavalerie de 9000 cavaliers, dont 4000 chevaliers de carrières. Mais, sur ses 15 000 hommes, moins du tiers était un soldat de carrière. Peu reviendrait de cette bataille, mais il le fallait. Pour rétablir une alliance entre les Cinq Tribus.

Mais, malgré cette grande armée, un gros problème persistait: personne ne connaissait la composition de l'armée ennemie, et c'était pour ainsi dire la première escarmouche. De plus, le voyage serait long jusqu'à Elios, presque deux jours pour les cavaliers, et cinq pour les piétons. Consient de la nécessité d'arrivé vite à Elios, Nuada avait divisé l'armée en deux: la première partie, composé exclusivement de cavaliers, partirait avec lui pour atteindre vite Elios. La deuxième partie, composée de 8000 hommes, dont 2000 cavaliers pour le soutien, serait guidée par un homme en qui Nuada avait toute confiance, le Général Glenn.

Nuada avait donc laissé Heimdallire vidée de presque la moitié de ses hommes. Il avait laissé ses meilleurs hommes dans la cité, en cas d'attaque surprise.

Nuada chevauchait donc, en tête de ses cavaliers, armé de Khan, vêtue d'une armure en mithril surplombé d'un pourpoint en cuir. L'armée s'étaient mise en marche au soir, n'avait cessée de marcher de la nuit et était exténuée. Il donna donc l'ordre d'arrêt. Il profita de ce temps d'arrêt pour regarder le soleil se lever. A coté de lui, un cavalier lui proposa une cruche d'eau et du pain. Il dit s'appeler Preyth, et était âgé de 17 ans. Pauvre jeune! Il semblait bien trop frêle pour aller sur le front! Ses chances de survie était bien faible, comme beaucoup d'autres hommes qui composaient cette armée. Mais il ne se plaignait pas. Il laissait ses doutes, ses peurs et ses certitudes de cotés. Nuada futpris de pitié pour cet adolescent, qui montait à la mort la tête haute. Que dire des autres soldats? Nuada n'aimait pas lier connaissance avec les hommes. Cela lui évitait les maux de ventres lorsque ceux-ci disparaissait.

Puis, ils remontèrent sur leurs chevaux, en direction d'Elios. Vers une mort presque sûr pour la plupart des hommes.

Enfin la guerre, chose que Narcissa avait attendue impatiemment depuis longtemps; c'était le moment de montrer à toutes les tribus sa puissance, il était plus que temps !
Le moment était venue de cesser de se cacher et de rester dans l'ombre pour enfin affronter la lumière - bien que les Ténèbres fussent son terrain de prédilection. Elle avait réunis tous ses hommes, de plus petit au plus vieux, tous devaient être présents pour pouvoir vaincre les autres tribus.

Au matin du départ, les armes avaient été distribuées, les armures misent en place, les chevaux préparés et, au dernier moment Narcissa avait fait appel aux femmes, elles aussi allaient être de la partie, certaines soigneraient les blessés et les autres se battraient en compagnie de leurs hommes, il ne fallait pas oublier qu'ils avaient plusieurs peuples en face d'eux, un maximum de vies humaines étaient nécessaires !

Les troupes étaient parties depuis un moment et leur progression était extrêmement rapide, facilité par les pouvoirs de Narcissa et des autres sorciers qui lui étaient venus en aide. Ils avaient reçu l'odre de tout brûler et de tuer un maximum de personne, aucune pitié ne leur était permise mais de toute façon c'était un sentiment humain qu'ils ignoraient complètement ainsi que la compassion. En effet, Narcissa avait levée une armée adepte du gore et de la torture, plus il y avait de cris et de sang et plus ils étaient comblés !

Alors que le soleil était à son zénith les armées commençaient à apercevoir le château de roi du vent, ils y seraient bientôt et commençèrent à lever leurs boucliers pour éviter les flèches qui leurs seraient bientôt envoyées. Un cortège de dix millions de personne était présent, les archers se tenant en arrière et sur les côté ainsi que certains sur les énormes volatiles noirs de Narcissa, volant au dessus de tout, surplombant le château même.

Il ne manquait plus que la reine des Ténèbres....

Très tôt dans la matinée, un homme arriva essouflé dans le campement Rebelle. Il alla directement vers la hute principale et salua l'homme imposant qui se trouvait à l'interieur.

Messire Cassidi, je vien vous signaler come vous me l'avez demander une agitation chez les troupes de la Sixième Tribus. Il semblerait que les armées des Ténèbres prennent la direction d'Eolios la Grande, capitale du Seigneur Anderlin.

Merci bien mon brave Molgwïn. Faite apreter les hommes et demander à Jumpy, Gorgoriel et Barborian d'aller restepctivement prevenir les Elfes des Montagnes, les Brigants des Forets ainsi que les Chefs de Guerres exilés qui vivent dans les forêts au pied des Montagnes Fendus. Qu'ils leurs disent de me rejoindre en route.

Après un nouveau salut, Molgwïn disparu prevenir les trois aides de camps de Cassidi qui partirent immédiatement.

Cassidi pris alors sa cape en peau de bête, son casque, son bouclier et son imposente épée. Il sortit de sous sa hute et aria devant un groupe de cinq cents hommes, vetus comme lui de loudres capes et armés de haches, de lances et de masses d'armes. Aucun d'avait de cheval, seul Cassidi était capable de monter marlgré sa forte corpulence. Il atacha son casque derrière sa tête et le lessa pendouiler derrière sa nuque. Il glissa son épée dans son foureau qui était attaché dans son dos et attacha son bouclier au flan de son cheval brun. Puis, prenant son élant sur l'étrier, il se souleva et s'assis. Il domnait plus que d'habitude les autres guerriers qui avaient l'habitudes de tuer. D'un simple geste de la main, Cassidi ébranla sa faible armée qui partit d'un pas déssidé.

Le voyage dura une journée entière avant la première escale. La nuit était tombée depuis plusieurs heures et les hommes de Cassidi avançaient à la lueur des torches. Leurs rangs s'était gonflés d'une centaine d'homme grâce à tous les voleur et bandits aussi pitoyables soit-ils que le chef des Rebelle avait croisé en menant son armée à travers le pays.

Ils s'arretèrent pour bivouaquer. Cassidi était assis au coin du feu lorsque Molgwïn s'aprocha de lui.

Messire, Jumpy est de retour avec les Elfes.

Bien, bien...

Mais en réalité, Cassidi était préocupé, Jumpy était la première à revenir avec les renforts. Or, Barborian était celui qui avait le moins de chemin à faire. En se renseignant au-près de tous les hommes qui les avaient rejoins durant le voyage. Cassidi avait apris que l'homme qu'il avait envoyé avait été tué par les hordes de la Sixième Tribus alors qu'il revenait entouré de près de deux cents hommes, ancien Nobles de toutes les Tribus qui comme Cassidi avaient été bannis. Seul Gorgoriel pouvait donc encore arriver avant que les troupes de Cassidi ne debarquent à Eolios.

La bonne nouvelle, c'était que Cassidi avait réagit dés le depart des troupes du Mal, et aussi le lendemain arriverait-il avant les troupes de la Sixième Tribus. Jumpy avait également ramené trois cents elfes venant du village d'origine du père de Cassidi. Tous des archers éxperimentés vetu de capes de voyages grises dont le capuchon était constament rabatu sur leur visage.

La nuit se passa sans ennuis et le lendemain, Cassidi repartit en tête de son armée qui comptait maintenant Neuf cents hommes. Ce n'était pas énorme mais c'était toujours ça de gagner.

Au bout de plusieurs heures de marche à travers la forêt, Cassidi arriva alors dans la plaine devant le château d'Anderlin. Il le voyait, brillant de mille feu à une dizaine de Kilomètre. Casside regarda par dessus son épaule et vit ses hommes, chantant jovialement à l'idée de tuer. Aucun ne se rendait compte que leur nombre était ridicul par rapport à celui de la Sixième Tribus. Cassidi soupira penssant que c'était peu être la dernière fois qu'il verrait ses fiers hommes monter au combat la hache sur l'épaule. Il donna alors un coup de talon sur les flans de son cheval et la fiere troupe se remit en marche, emergeant de la forêt pour aller s'enfermer dans la ville d'Anderlin en attendant la mort qui fraperait à la porte de la cité...

Après sa dernière victoire à l’arène de la sixième tribu, Baalberith s’était remit de ses blessures, une telle volonté de combattre ne pouvait être cachée que par une nouvelle stratégie. Il s’était entraîné pendant deux jours à manipuler les invocations, mais aucun résultat n’était vraiment réjouissant et pourtant une certaine sûreté le poussait à croire qu’un résultat satisfaisant allait se faire durant la bataille.

Le moment est enfin arrivé, se sera l’heure où le monde se verra réduit en esclavage par le mal.

Une cape noire sur le dos, sa claymore ensorcelée Thamuz dans les mains, des fioles vides à âmes dans sa besace, Baalberith était fin prêt pour le combat.

A l’aube du départ, armes et armures furent distribuées aux soldats qui étaient composés d’homme de tous ages. Mais Narcissa fît appel aussi aux femmes, toutes personnes avaient sa place dans la bataille, que se soit un carnage ou non. Une armée telle celle-ci n’était pas ordinaire, des hérétiques pour la plus part était aux premiers rangs, et des exécuteurs en guise d’armes lourdes.

Les troupes partirent du royaume des ténèbres, Baalberith monta en selle sur un des volatiles noirs et se mit en route pour la cité d’Eolios. Vu du ciel l’armée ne semblait pas composés en partis de personnes expérimentés de combats mais elle faisait tout de même froid dans le dos, un étendard fît lever avec un ancien esclave torturé de partout attaché sur le sommet.

Le soleil à son apogée, les troupes à terre commençaient à discerner la cité du vent, en très peu de temps il allait être à son entrée, les soldats préparèrent leur arme et leur bouclier. Les troupes volantes apercevaient sans difficulté les cortèges qu’ils allaient devoir affronter. Des deux cotés, les armées étaient toutes formées de leur général à par de celui des ténèbres..

Il ne manquait plus que Narcissa, Maîtresse du mal…

Anderlin attendait, son épée au point monté sur son cheval blanc comme neige. Il ne suportait pas de rester devant la porte et aussi avait-il comencé un petit tour de la cité. Les gradés de son armée défilait en toute hate devant lui pour l'informer de la situation dans la ville et pour prendre de nouveaux ordres. La bataille n'avait pas encore commencée mais déjà la ville était agitée. Des femmes et des jeunes enfants ainsi que des vieillards marchaient dans le sens contraire des troupes du Vieu Mage pour aller se refugier dans le château qui était gardé par des troupes d'élites. Les plus jeune pleuraient en se serrant dans les bras de leur mère et voyant leur père ou leur grand frère se faire arreter par les soldats et entrainé dans les armuries de la villes pour ressevoir des armes et pour combattre. Des femmes était éfondrée en pensant à leur ainé qui prenaient les armes face à une arme bien plus grande que celle du Royaume du Vent. Lorsqu'il le pouvait, Anderlin tentait de reconforter les familles et disant des paroles rassurantes, on lui faisait promettre de toute ârt de veiller sur les enfants, sur les maris...

Puis, un garde arriva en courrant au-près d'Anderlin lui demandant de monter le plus vite possible sur les ramparts. Le roi traversa alors la ville au galop et s'arreta devan l'escalier qui menait eu somment de l'imposant mur de pierre quifaisait le tour de la ville. Sautant de son cheval avec une agilité deconcertante, Anderlin monta ensuite au pas de course les marches quatre par quatre. Enfin, il arriva au sommet des fortification et une douce brice de novembre vint lui carresserr le visage. Anderlin regarda alors dans la direction indiquée par le garde. On voyait à quelques kilomètres de là un groupe d'homme marchant en direction de la ville d'Eolios. Il venaient droit de la forêt.

Et bien quoi... ouvrez donc les portes, je reconait d'ici les étendards de Cassidi...

Puis son regard fut attiré par une chose étrange, une ombre était passée pendant à peine une fraction de seconde sur les remparts les plongeant dans l'obscurité. Anderlin regarda alors par reflexe vers le soleil et faillit lacher un cris de surprise. Face à lui, plus loin que les troupes de Cassidi se trouvait une sorte d'ombre noire... elle recouvrait l'horison et même un peu au dessus. En effet, de gigantesques créatures volaient en decrivant des cercle au dessus de l'amrée du mal qui marchait sur Eolios. De temps à autre, une de ces créature passait entre la ville et le soleil et son effroyable ombre recouvrait toute la pleine. Puis, le regard d'Anderlin se fit glacial. Il leva son sceptre au dessus de sa tête et commença à marmoner des incentation tout en decrivant des figures complexe avec son baton de magicien.

Cela dura pendant quelques minutes... tout d'abord, la pierre qui se trouvait à l'extremité de son sceptre se contenta de briller, de plus en plus fort. Puis, elle finit par devenir incandecente et à elle seule elle éclairait les remparts orsqu'une de ces horrible créatures passait devant le soleil. Anderlin changea ensuite d'incentation et son sceptre tourna dans des sens les plus farfelus qu'il soit. La légère brise se changea alors en vent, puis en une sorte de mini tempête. La barbe et les cheveux blancs du Mage flottaient derrière lui et sa tunique battait contre ses jambes. Puis, le vent se calma et sembla s concentrer sur la pierre du sceptre. Le vent semblait être devenu visible. Il y eu ensuite trois bruits étranges, comme celui que fait l'air lorsque l'on le libère à une vitesse plutôt rapide. Des sorte de "pchit!!!". A chacun de ses "pchit", un vent visible lui aussi jaillissait du sceptre et tournait à toute vitesse autour du sorcier. Bientôt, tel quatre esprits liberé, les vents tournaient autour du Mage, on aurait même dit qu'ils murmuraient des choses à l'oreil d'Anderlin. La barba du mage continuait de se debatre dans tous les sens celon la direction que prenait le vent qui la rencontrait. Puis, les vents se melangèrent et ne tournèrent plus que dans un sens, alors, ils se raprochèrent de l'extremité du sceptre et penetrairent dans la pierre qui brillait toujours.

Bientôt, le calme retomba sur les remparts et les soldats qui s'était acroupis pour éviter de se ressevoir tout le vent dans le visage se relevaient tenant leur casque d'une main se demandant à quoi ils avaient bien put assister. La pierre ne brillait plus. Mais un rugissement de colère semblait en sortir. Alors, dans une lumière si vive que tous les soldats presents fermèrent les yeux, tous les vents jaillirent de nouveau et lorsque les yeux des gardes retrouvèrent la vue qu'ils avaient perdus pendants quelques instants à cause de la lumière, tous purent voir avec effroie une créature d'une demie-douzaine de mètres de hauts, elle ne semblait ni solide, ni liquide, ni gazeuse, et flottait à quelques mètre de la muraille en fixant le Mage. C'est à croire qu'elle n'éxistait pas vraimen. Et pourtant, elle était bien là. Les soldats pouvaient entendre son souffle, les plus proche pouvaient même le sentir sur leur visage. La créature avait une tête carré avec un visage plutôt plat. Sa gueule se trouvait à mis hauter entre le bas et le haut de sa tête et des cros semblaient depasser de sa machoir inferieur. Ses yeux, deux petits points rouges brillant comme les premier rayons du soleil fixait Andelin. De ses narines qui se trouvait sur le haut de sa tête se degageait un souffle lent et regulier, à chaque expiration, les cheveux du roi du Vent flottaient en arrière. Le corps de cette créature était robuste, des puissantes pattes munis de griffes tranchantes lui servaient de membres anterieurs. De ces omoplates émanaient deux grandes ailes de chauve souris, d'une blancheur iréelle. Son dos était parsemé d'épines dorsale qui dessendait jusqu'au dessus de l'endroit où aurrait dût se trouver les pattes arrières. Mais le corps se terminait pas une longue et épaisse queue qui flottait derrière la créature.

Voici la plus puissante créature qu'un sortillège puisse créer. Voici, une Entité Elementaire, elle est faite des differents vents qui survolent notre monde mais elle cause les même dégats que si elle était faite de chaire et de muscle.

D'un petit geste de la tête, Anderlin envoya la créature voler vers le château. La créature enroula sa queue autour du toit conique de la plus haute tour du chateau et attrapa le somet du toit de ses puissantes pattes.

Anderlin regarda alors la plaine, Cassidi était à ses portes.

La colonne de Nuada avançait. Ils avançaient toujours, en direction d'Elios. Arriveraient-ils à temps? Ou bien devraient-ils affronter des armées plusieurs fois supérieur en nombre dans les ruines de la cité? Cette seule pensée hantait toute l'armée. La faisait avancée. Vite, toujours plus vite. Elle arriva donc plus vite qu'elle ne l'avait prévue. Le soleil était à son zénit lorsque l'on pu voir, en contre-bas, et encore à une belle distance, Elios.

La cité était blanche, belle, d'un style très léger, mais solide. Le soleil semblait renvoyer tout son éclat sur cette cité. Une ville sompteuse, bien éloignée du style froid et aride d'Heimdallire.

Mais, comme pour briser cette vision, une marée noire s'approchait dans le plus grand désorde de la ville, poursuivant un groupe d'hommes, dont Nuada reconnut la bannière.

Cassidi. Le roi des voleurs était donc ici? mais il fallait oublier le passé pour se concentrer sur le présent. Mais il était tout de même étonnant de voir le nombre de voleurs qui pouvaient constituer son armée. Etaient-ils donc si nombreux au Royaume du Vent?

Soudain, une violente bourrasque se leva. Nuada s'accrocha à son cheval, craignant dêtre emporté. Regardant en arrière, il vit son armée s'accrochant tant bien que mal, les chevaux les plus légers et petits tombés. Cette andouille d'Anderlin créait un Elémentaire de Vent! Comment allaient-ils rentrer?

Nuada et son armée se trouvait donc dans une situation très désagréable. Ils étaient sans protection, plusieurs fois inférieurs en nombre, et surement repérés. Comment allaient-ils faire?

Cassidi menait toujours ses hommes qui ne riaient plus du tout. Quelques kilomètres derrière eux marchaient les troupes de la sixième Tribus. Ses hommes pressaient le pas, c'est pourquoi Cassidi se trouvait presque devant les murs de la resplendissante citadelle. Au moment où les troupes Rebelles allaient entamer le dernier kilomètre de marche, un vent d'une violence extreme baleya la pleine. La colonne de soldats s'immobilisa tout comme le bruit des tambours de l'enemis. Tous tentaient de s'acrocher à quelques choses. Puis, le calme retomba sur la pleines. Penssant que s'était là le signale du debut de la bataille, le detaille qui changerait tout, Cassidi donna l'ordre de presser le pas. Au dessus de la porte flottait une forme étrange, elle resta immobile, puis s'éleva et disparu dans le fin fond de la cité.

Cassidi frappa à la loudre porte qui s'ouvrit. Il entra dans la ville sur son cheval, suivit de ces hommes et des elfes qui l'avaient rejoins lors du voyage. Certains soldats jettaient des regards méfiants devant le passage des Rebelles. Il était évident que si l'ordre d'ouvrir la porte n'avait pas été donné, personne n'aurait pris l'iniciative de le faire. Cassidi dessendi de sa monture et donna quelques ordres aux elfes et aux rares brigants maniants l'arc. Ceux-ci montèrent au pas de course prendre place sur les remparts. Les hommes de Cassidi commençèrent à bavarder mais d'un ton anxieu. Après avoir confié son cheval à l'un de ses hommes, Cassidi monta quatre par quatre les marches mennant aux remparts et se trouva en haut. Il s'aprocha du roi du Vent et regarda l'armée noire marché sur la ville. Cassidi distingua également des cavaliers qui aparament ne faisaient pas partis de l'armée des attaquants.

Bien belle journée pour mourir Anderlin...

Les habitants du royaume de la glace pouvait se venter d'avoir le climat politique le plus stable du monde...Mais voilà que la guerre avait éclaté et cette fois si se n'était pas une petite querelle de bagatelle entre clan ; la sixième tribu avait frappé et frappé fort en effet son armée s'approchait de la capitale d'Anderlin...
Ce jour là, Tacite avait réuni exceptionnellement l'assemblée générale l'heure était grave, le matin même un jeune garçon était entré dans la salle de réunion à bout de souffle et avait annoncer la triste nouvelle, l’ennemie était au porte d'Eolios,l'assemblée était en effervescence les généraux supputaient déjà surl'issue de la bataille, les marchands se lamentaient sur le sort de leur principal partenaire économique extérieur au royaume de la glace, quant aux politiciens ils faisaient se qu'ils faisaient le, mieux répondre à côter de la plaque lorsque l'on leur posait une question .Puis soudain Tacite arriva suivit de son chancelier, le brouhaha cessa aussitôt,les gens se turent et regagnèrent leur place. Tacite entama alors se discours:
-Messieurs les députés,vous savez comme moi qu'Anderlin est submergé par les troupes de la sixième tribu,je vous ais réunis pour que vous votiez pour l'aide ou non venant de notre royaume pour sauver le royaume du vent le vote se fera par tête et non par ordre...
Quelques personnes se levèrent soudain indignées mais la garde royal les invita gentiment à rester assit...
...comme il était d'usage d'habitude, maintenant je vous invite à voter.

Le résultat ne se fit pas attendre les députés votèrent pour le soutien militaire et stratégique de la glace dans cette guerre,alors Tacite dit en chuchotent à son chancelier:
Très bien nous entrons en guerre maintenant il faut que j'organise les préparatifs je vais enfin pouvoir tester en pratique deux trois petites choses...je vais réveiller l'armée des terres ancestrales et ça va geler...croyez moi…

OUAH !!! Une convocation de guerre, Zardann saute en joie. Elle court dans tout le chateau ( vide )

REGARDEZ LES GENS ON VA FAIRE LA GUERRE !!!

Zardann attendait ça depuis longtemps, enfin un truc qui bouge. Elle s'assit sur son trône et pris ses grands airs. Elle sonna a une cloche. Sora arriva tout de suite.

Sora, mon ami, rassemblez les troupes nous partons pour la capitale du vent Elios. Dites aux hommes de ne prendre que leur simple pouvoir de terre et quelques lances magiques avec boucliers. Tous les grands mages du royaume viennent aussi. Prenez des chevaux ( et une chaise longue... non jdec' ) ainsi que des pelles. Ne reveillez pas maintenent les nains, je sens que nous allons avoir besoin d'eux très bientot...

Les troupes se préparèrent alors, en joie d'aller a la guerre avec leur Reine !!! ( HEHE C'EST MOI !!! ). Comme l'a dit la reine, les mages vinrent avec leurs pouvoirs et les nains restèrent dans un sommeil profond. Bizzare non ? Ouais c'est bien ce que je pensais. Zardann est un peu dérangé en ce moment. Elle prit son fouet et invita son ami Sora a ce joindre a elle. Toutes les troupes devront êtres a terre signe de notre élément.

Une fois dehors tout était près. Les soldats firent un honneur a Zardann qui s'amusait avec son fouet. Elle confia ses forces a ses hommes et tous partirent en direction de Elios. OUHAHAHAHA ON VA BIEN RIRE !!! La reine et Sora était sur des chevaux. Ils avancèrent lentement mais surement toujours sur leurs gardes.

Le voyage fut long et difficile mais les mages étaient la pour les soins. La capitale était en vue. Une forêt se trouvait juste a coté. Zardann fit une vois basse a Sora. Il s'éxécuta en hésitant pas un seul instant. Il s'installèrent dans la fôrets et se confondèrent avec la fôret.

Zardann sortit de la fôret sur son cheval et quelques mages: 3. Elle ferma les yeux et attendait le bon moment, avec ses mages, pour mettre son plan a exécution. Le soleil était vif et elle attendait toujours sur sa colline, et ses hommes près a l'attaque...

Chevalier Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 20/01/2008

Le soleil se levait enfin. Voilà toute une nuit que les soldats du Seigneurs Anderlin s'efforçaient de tenir leurs yeux ouverts. Marweck, l'épée à la ceinture faisait trotter son cheval derrière celui de son roi. Un homme s'aprocha du chef de la garde d'Anderlin et lui murmura quelque chose à l'oreille. Aussitôt, le chevalier fit faire demi-tour à sa monture et éperonna vers les bas-fonds de la capitale. Marweck mit pied à terre suivit de l'homme qui était venu le chercher. Une bonne partis de la garde d'Anderlin se trouvait là, debout à chuchoter. Marweck fit un pas en avant et tous se ture.

Mes frères, voilà que la sixième tribus frappe à notre porte et vous vous réunissez pour comploter au lieu de protéger notre souverain.

Par pitié Marweck, épargne-nous ce discours. Tu voulais nous voir, nous voilà... alors?

L'idée de tuer te rends si nerveux Fargor? Je croyais que tu n'avais pas peur de la mort.

La mort, laisse-moi rire. La sixième tribus est bien plus effrayante. Tu n'imagines même pas se qu'ils seraient capable de nous faire si notre plan échouait.

Parceque toi tu le sais peu être, je les ai vu massacrer des villages entier lors de leur arrivée sur notre monde.

Oui nous savons Largawin, tu leurs a échappé et tu as été fait chevalier... mais je m'en fiche, quel est le plan definitif?

Et bien, il faudrait que par le plus grand malheur, la cité tombe afin de forcer Anderlin à se rabattre dans le château, une fois que l'armée serra reduite et que le roi sera mort, nous livrons nous même la salle du trone à la sixième tribus...

Pour cela... il faudrait bien entendu que la sixième tribus reste suffisament longtemps aux portes du château afin que l'on puisse le leur livré.

En résumé, nous devrons protéger le château tout en tuant le roi... oui, c'est ça où nous nous faisons tuer par la sixième tribus.

Ou écarteler pour trahison si jamais Eolios tenait.

Je croyais que nous étions tous d'accord pour dire que vus les forces déployées par la sixième tribus, le royaume du Vent n'a aucune chance. Bien, retournons sur les remparts.

Les chevaliers remontèrent ensuite sur leurs chevaux et se mirent en route vers la porte de la ville. Un rafus gargantuesque (fallais le placer) attira leur attention, une créature paça en volant au dessus de leur tête et alla se poser sur le toit du château. En arrivant sur la place principale où se trouvait le gros des hommes, Marweck se rendis compte que de nouveaux arrivants avaient pris place, des barbares, des brigands, les hommes de Cassidi. Marweck cracha sur le sol pour exprimer son degout et pris place devant la porte.

Bien belle journée pour mourir Anderlin...

Telle étaient les paroles de Cassidi, rassurant de la part d'un colosse comme lui. Anderlin, toujours les yeux fixés sur l'horyzon qui à présent s'était découvert d'une armée qui attendait aux portes de la ville.

J'aimerais autant y survivre Cassidi... Mais tu n'aurais pas dût venir, tes hommes savent tuer, j'en suis plus que certain, mais cela ne fait pas d'eux des guerriers. Ils n'ont aucune chance de survie... pas plus que nous... Ces derniers mots avaient été prononcés dans un murmure.

Anderlin savait à présent se qu'il ressentait. Ce n'était ni de l'exitation, ni de la bravoure, mais de la peur. Anderlin, roi du Royaume du Vent, seigneur d'Eolios et plus puissant mage que cette terre ai put porter depuis sa création et les Elementaires d'origines, il avait peur.Il vit alors au loin, les troupes de Nuada, ainsi que celles de Zardann. Ils était tous deux venu porter main forte à Anderlin. Mais jamais leurs troupes ne pourraient parvenir jusqu'à Eolios avec l'armée qui les séparait. Alors, soupirant car il savait également se qu'il fallait faire, il se tourna vers la place principale, sur laquelle attendaient les milliers de soldats. Anderlin se pencha vers un jeune garçon d'une vingtaine d'année et lui murmura à l'oreille:

Fait parvenir les ordres suivants à mes commendants: Marweck devra prendre la tête des chevaliers, qu'ils fassent partie de ma garde ou non, Logwen, quant à elle devra s'assurer de nous couvrir avec les archers lorsque nous nous replirons.

Puis Anderlin se tourna vers Cassidi.

L'infenterie restera à l'interieur de la ville, au cas où la Sixièm Tribu choisirais de lancer une contre attaque et que les cavaliers se retrouvent bloqués dans la plaine.

Anderlin dessendit et monta sur son cheval, épée fermemant tenu dans la main droite, le sceptre dans la gauche. Il n'aurait pas besoin de ses mains pour diriger son cheval, la par la pensé, il ferrais savoir à sa monture la trajectoire à suivre. Alors, sous un de ses ordres, la porte s'ouvrit. Anderlin jetta un dernier regard à Cassidi, qui prenait ses dispositions et organisait les gardes. Logwen elle, attendait toujours, arc en main que la Sixième Tribu s'approche suffisament pour que les flèches commencent à tomber. Derrière les cavaliers, l'Entité lachait peu à peu la tour du château et commença à décrire des cercles en l'air. Alors, Anderlin éperonna férocement son cheval qui partit au galop. Le cheval de Marweck l'imita ainsi que tous les autres. De la grande porte jaillit plusieurs centaines de cavaliers, tous près à aire se qu'il faudrait pour permettre à Zardann et à Nuada d'atteindre Eolios.

Anderlin decsendit l'escalier des remparts et monta sur son cheval, il pris ses armes et Cassidi sut que la bataille començait. Il se dirigea donc vers un des capitaine de l'armée d'Eolios lui demandant de faire posissioner les hommes dés que les portes seraient fermées. La créature d'Anderlin passa à toute vitesse au dessus de la tête de Cassidi, celui-ci la suivit du regard et il vit alors les cavaliers d'Eolios frapper avec rage les troupes de l'immense armée. Le monstre decsendit en piquée frappant dix soldats à la fois. Puis, il decrivit des cercles autour de des troupes d'Anderlin, les protégeant contre les assayant qui tentaient de les frapper, et petit à petit, Anderlin s'enferma dans les méandres de l'armée.

Relevant la tête, Cassidi distingua un rassemblement en lisière de forêt, mais c'état des hommes discrets, comme si ils se cachaient. Cassidi reconnu les bandits qu'il avait envyé chercher.

Ouvrez les portes!!! Apretez mon cheval, que tous mes hommes hors-mis les archés se regroupent sur la place.

Cassidi pris alors son bouclier et le passa à son bras, tout en courant vers sa monture, il atacha son casque, puis, il monta avec une agilité imprésionante. Tirant son épée, il donna ces ordres:

Soldats d'Eolios, gardez cette villes, quant à nous, nous allons cherchez les renforts avec le seigneur Anderlin.

Les hommes de Cassidi hurlaient de joie tandis qe ceux d'Anderlin insultaient Cassidi de lache, lui disant qu'il en profiterait pour fuire. Sans y préter attention, Cassidi éperonna son cheval qui partit au triple galops. Derrière Cassidi couraient les hommes armées de haches et de masses d'armes, hurlant pour impréssioner l'enemis. Tous courait à la vitesse d'un cheval au galop, puis, il y eu un choc.

Les guerriers Rebelles frappèrent de plein fouet les boucliers enemis. Mais fieres de combattre, ils broyaient les cranes et tranchaient la chaire.

Restez en rangs sérrés, derrière vos boucliers, il faut rejoindre Anderlin!!!

Le cheval de Cassidi bondissait par dessus les têtes des soldats de la Sixième Tribu, le chef des Rebelles donnait de féroce coups de pieds pour repousser les guerriers qui s'approchaient trop de lui, tandis que son épée traversait les gorges et fracassait les boucliers. Cassidi mis une rage sans pareil à sa tache et bientôt, il arriva dans le périmettre de protection de la créature d'Anderlin. Il fut rejoint par des hommes à lui et vit aec stupeur l'amas de corps qui jonchait le sol après leur passage.

Du haut de sa tour Narcissa observait les évènements dans son miroir et cela ne lui plaisait guère, les ennemis ne devaient absolument pas rentrer dans Eolios ! Il fallait que ses troupes les en empêchent à tous prix ! Mais ces abrutis ne semblaient pas comprendre l'importance de ce passage, si ils rentraient dans la ville la Sixième tribu ne pourrait pas s'en emparer, ils ne pouvaient lutter contre cinq autres peuples pour une fois tous unis !

Raaa il faut vraiment que je fasses tout par moi même ici ! Sans moi ils sont tous perdus !

Mais que faisait Baalberith ? Il avait le commandement de ses troupes, il devait bien être plus intelligent que ces monstres viles et cruels qu'elle avait crée ! Pourquoi ne les faisaient ils pas agir plus vite que ça ? Il en allait de leur victoire ce qui n'était tout de même pas rien ! La reine des Ténèbres ne pouvait pas se permettre de perdre face à eux tous !

De rage elle prit sa cape qu'elle mit sur ses épaules et sortit de sa chambre, une fois arrivée en bas elle appela un de ses serviteurs, un grand oiseau noir, celui qu'elle gardait toujours pour elle, le plus beau et le plus gros. Une cèle était déjà placée sur son dos, pret à ce que sa maîtresse monte sur lui pour se rendre à la bataille.
Narcissa prit un arc avec des flèches empoisonnée; quiconque en recevait une pouvait être certain de mourir dans d'atroces souffrances dans la demi-heure.

Son oiseau était muni d'un champ de protection, une fois sur lui elle était totalement intouchable, à l'abri des jets de flèches et autres armes riddicules. Elle enfourcha son oiseau et en quelques mots il fut dans les airs, survolants les contrées ennemis. La jeune femme y aurait volontier mis le feu mais elle n'avait guère le temps de s'amuser !

Quand elle arriva sur place personne ne sembla la remarquer, tous étant très occupés à défendre leur vie, comme si elle avait une quelconque valeur ! Narcissa surplombait la scène, c'était pytoyable, ses hommes réduisaient en miettes des gringalets, trop brave pour leur âge et destinés à mourir au combat.

Ses archers avaient réussis à percer quelques lignes de défense mais rien de bien méchant, s'en était très décevant de la part de ceux ci qui ne rattaient jamais leur cible aux entraînements !
Narcissa repèra Baalberith, celui ci était en train de tirer sur ceux d'en bas, visiblement acharné sur un jeune homme qui tentait de prénètrer dans la forteresse. La jeune femme alla le rejoindre, tuant au passage deux ou trois personnes qui l'avaient repèrée. Une fois qu'elle fut à la hauteur de Baalberith elle lui donna des directives.

Il faut absolument les empêcher de pénètrer dans la ville ! Je croyais avoir été assez claire mais visiblement ce n'est pas le cas, si nous perdons la guerre tu le paieras de ta propre vie...enfin si tu y survit bien entendu !

Le ton était sans appel, la jeune femme n'avait pas le temps de rentrer dans des considérations, il fallait absolument que ses hommes face bloquage devant la ville, certains devaient essayer de rentrer et les autres empêcher le roi du feu de s'y rendre, c'était le plus important pour le moment.

Une fois que les choses furent mises au clair Narcissa remonta un peu dans le ciel et survola la ville, tous étaient prêt à se battre. Elle en élimina quelques uns avec ses flèches, quiconque touchaient les blèssés se voyait également contaminé, elle était ainsi sur d'en tuer un certain nombre avec peu de flèches !

[dsl d'être aussi en retard ]

Apparamment... le monde s'agitait sur la plaine. Des gens étaient à l'assaut et d'autre attendait encore. Bizzar...
Zardann, elle attendait toujours, les yeux fermés, et... concentré. Les mages, juste derrière elle pour former un triangle, étaient comme elle, le vent soufflait sur la capital. Les vents n'étaient pas très favorables pour une guerre. Le soleil commençait a disparaitre sous les nuages qui arrivaient en mass... et rapidement. Voila une bonne situation pour Zardann, la reine de la terre.Certes elle avait une folie intérieur mais on ne peut pas la changer.

Les troupes s'agitèrent dèrrière la reine, ils se demandaient ce que la reine attendait. Zardann ouvrit les yeux et se tourna vers eux:

La reine vous ordonne de vous taire et de rester a ses ordres. Vous verez... une fois que mon plan sera en exécution vous découperez de la chaire autant que vous voulez... mais patience...

Zardann se remit a sa place avec un sourire au lèvre. Elle descendit de son cheval et se mit a terre. Elle prit du sable dans sa main et le laissa retomber. Les mages firent de même, Sora essayait de calmer les troupes qui étaient maintenant impatiente.

Un boule de sable commenca a se former au dessus de la tête de chacun des mages et de la reines. Elles grandissaient jusqu'a devenir la taille d'un oeil. Les billes s'assemblèrent au milieu et firent une lumière éblouissante. Uni ensemble, elle tombèrent a terre violamment, tout en rebondissant. Un bruit sourd retentit. Zardann tendit son oreille a terre et écouta le crépitement de la terre. La terre se craquelait petit a petit, au plus profond. Les mages relevèrent la tête violamment avec Zardann. Soudain, la terre se brisa au milieu du champ de battaille créant un abîme. L'enfer était la, des soldats tombèrent et la terre continuait a se déformer. Le champ de bataille devant une grosse mass d'homme qui se fait balancer. Zardann sortit un sourire mchant et se remit sur son cheval. Sora s'approcha.

Faites les sortir mâitre Sora.

Sora tapa sur la terre avec son baton et une mass de nains arrivèrent. Ils étaient tous la. En effet zardann avait dit qu'elle ne les appeleraient pas mais Sora l'avait persuadé en cachette. Et puis... en effet c'était une bonne idée. Zardann se tourna alors vers son "peuple". Pour la première fois elle allait vraiment encourager et se battre au nom de la terre. La bille rebondissait toujours, et la terre se craquait a chaque fois qu'elle tombait. Les hommes qui étaient sur le champ de bataille était affaiblit, avec aucun terrain en leur avantage.

Mes frères, aujourd'hui c'est notre plus grand jour, le jour de notre libération, le jour du sang, et le jour de force. Je n'ai pas toujours était une très bonne reine, mais je peux vous dire, aujourd'hui, que je suis fière d'être encore là, a vous encourager et a vous conduire.
Le terrain est en notre avantage, le vent souffle mais vous êtes dur comme du roc. Ne faites pas attention au royaume du vent, ni aux autres, vous vous battez pour vous, pour votre famille, et pour votre reine. Alors ? Devons nous vraiment y aller ? Le peuple de la terre levèrent le bras et crièrent "ASMA" ( C'est un mot d'origine inconnu, c'est la reine Zardann qui a inventé ce salut !) Les cheveux de zardann lui cachait son visage, elle les retira et mit sa cape. N'ayez aucune pitié et surtout... ne laissé pas passer le royaume du feu, ni aucun royaume ! Entrez dans la capital tout en creusant les nains, et mes soldats a terre suivez moi. ALORS ? QUI DOIT MOURIR AUOURD'HUI ?

Le peupl fit la même chose avec le "ASMA" et les mages construisent des tunnels rapidement pour mener les nains en cachette dans la capitale. Pendant qu Zardann murmurait a Sora d'aller chercher son animal préférer. Il lui demanda comment le trouver. Elle lui repondit seulement: Laisse ton sifflement le conduire, et elle se retourna vers le champs de bataille qui était maintenent très mal au point. Zardann se mit a rire.

Regardez mes frères comment ils souffrent, allons nous abréger leurs souffrances ?

"ASMA" ! Et le peuple de la terre s'élança doucement, Zardann a leur tête avec son fouet et un arc a la main. Elle s'arrêta et son peuple partit vers l'avant en criant pour impressionner l'adversaire. Zardann les aider en donnant une force dans leurs armes qui fait le double de dégats et qui les assome. Mais elle ne fit pas ça très longtemps pour éviter de gaspiller ses forces.

Les nains avancèrent dans la capitale... ils essayaient de tuer les soldats qui restaient dans le chateau et faire quelques victimes parmi les civils. Les nains progressaient assez rapidement...

Zardann prit son fouet et fixa du regard l'oiseau qui volait avec une personne inconnu dessus. Aucun signe d'appartenance a une des tribus du feu, de la foudre, du vent, de la glace et de la terre qui étaient déjà tous présent dans la bataille...

Tout se précipitait. Les défeseurs sortaient de la cité, une femme montée sur un gros oiseau harcelait les troupes...

En fléche!!! hurla Nuada. Préparez-vous à la charge!!!

Ses hommes s'exécutèrent dans un grand bruit. Nuada retourna son cheval, et regarda ses hommes. Tout les regards étaient tournés vers lui. Tous étaient affolés, avaient peur de la Mort.

Ils chargent pour! Regardez, ils sortent pour nous offrir une opportunité d'entrer dans la ville! Rendons leur hommage dans cette charge, pour que leur mort ne soit pas totalement inutile! A mort!

Ses derniers mots furent repris par ses hommes. Un cri, un hurlement, un moyen sans doute pour eux d'évacuer tout sentiment.

Nuada lança son cheval tout en dégainant Khan. La descente de la colline fut courte. Nuada abattit son épée sur le crâne d'un homme à droite, le tranchant en deux. Peu à peu, tous ses hommes arrivèrent. La mêlée fut grandiose. Violente. Sanglante. Les hommes frappaient sans discernation, cherchant à rejoindre les défenseurs, ou mourraient. Nuada vit rapidement les troupes de la Terre sur un coin, en replis de la bataille. La victoire est assurée, encerclées, les troupes de laSixième Tribus mourront.

Gwaïhir eut une vision. Thor lui parla en songe. Il lui donna l'ordre de se rendre à la Grande cité des Elementaires du Vent, Eolios, puissants alliés des Elementaires de la Foudre. Car une terrible bataille y faisait rage.
En pleine nuit, Gwaïhir partit en toute hâte vers la Grande cité, grâce à un des meilleurs destriers de la Tribu.
Il arriva à Eolios au point du jour. La violence des combats était atroce. Les têtes volaient et le sang coulait à flots. L'armée de la 6eme tribu était constituée d'aberrations monstrueuses. Les soldats des 5 tribus combattaient vaillamment, mais certains étaient déstabilisés face à de telles horreurs. De plus, une archère postée sur un immense oiseau semait la panique parmi les fantassins qui souffraient d'un mal étrange et contagieux.

Un capitaine du Feu courut dans sa direction, l'épée à la main:

-Que veux-tu, Nain? Bats-toi ou fuis comme un lâche te réfugier dans ta montagne avec ton couard de peuple!

L'homme était tendu à l'extrème, ruisselant de sueur, et avait les yeux injectés de sang. Une entaille sur son bras semblait grave et saignait abondamment.

-Rien de plus que vous aider, capitaine. Je suis capable d'apaiser les peurs de vos hommes ainsi que leurs blessures. Les morts-vivants craignent la lumière de mon dieu, et son marteau renferme la puissance de son courroux.

-Pfff, vous les nains, vous ne savez que boire et vous terrer dans vos souterrains! Mais, que vous soyez fou ou suicidaire, je vous interdis d'utiliser votre magie sur nos hommes, compris?

Gwaïhir savait que l'homme ne changerait pas d'avis tant qu'il n'aurait pas fait ses preuves. Alors il marmonna une prière et la blessure au bras du capitaine s'évanouit. L'homme regardait, hagard, son bras intact. Il lui indica alors où se poster pour avoir le meilleur champ de vision possible et pouvoir aider les spadassins.
Le nain se lança dans la mélée, l'arme au poing. Il invoquait les puissances divines qui balayaient l'armée de la 6ème tribu de lumière, brûlant les morts vivants qui s'écroulaient, laissant un peu de répit aux hommes, le temps pour Gwaïhir de soigner les blessés les plus graves et de ralentir au mieux le poison qui se répandait dans le sang de beaucoup de soldats. Il invoquait des protections contre le Mal qui permettaient aux soldats de mieux résister aux attaques de flèche et à la peur. Mais malgrès tous ses efforts, beaucoup des leurs tombaient. Après avoir lancé une ultime bénédiction sur ses alliés, Gwaïhir s'élança pour percer les lignes adverses et faire reculer cette armée des ténèbres.

Tous, soldats des Ténèbres, ou de quelquonque tribus, tous étaient à présent au sein de la mélée. Anderlin sur son cheval blanc frappait avec plus de force que n'importe quel autre soldat. L'Entité tournoiyait dans les air, tranchant de ses griffes puissantes les gorges et les poitrine de ses adversaires, faisant tomber de leur montures les cavalier et abatant sur le sol des créature ailée que possedaient les soldats de Narcissa.

Faisant virevolter son sceptre, Anderlin projeta à une dizaine de mètre vingt soldats d'un coup qui tentaient de le désarsoner, autour de lui se formait un cercle de plus de dix mètres de diamètre dans lequel personne ne passait. Puis, il y eu un bruit sourd, la terre se déchirait. Les troupes de la sixièmetribus sombraient dans les entrailles de la plaine. Mais le sol se déchira bien plus loin, une faille barra la route d'Anderlin et la terre s'effondra autour de lui. Il était seul sur son cheval sur un petit bout de terre qui tenait encore. Le précipisse s'étendait au delé de vingt mètres et Anderlin était piégé. Il fit volte face et vit Eolios, l'une des murailles fissurait et des hordes de Nains jaillisaient de la terrepour prendre sa capitale. Alors, emplifiant sa voix grâce à la magie qui coulait dans ces veines, il hurla:

FAUT-IL QU VOUS SOYEZ STUPIDE ZARDANN? SEULE, VOUS NE GARDEREZ PAS EOLIOS BIEN LONGTEMPS, LUTTEZ CONTRE NOTRE ENEMIS COMMUN ET NON PAS CONTRE CELUI QUI VOUS ARRENGERA, HONTE SUR VOUS ET VOTRE PEUPLE ZARDANN!!!

Puis, éperonnant son cheval, Anderlin le fit se cabrer et il leva son épée au dessus de sa tête.

EOLIOS SERA LIBRE!!!!

Son ceval partit au galop et en moins de dix seconde arriva au bord du vide, puis, il bondit. Le cheval arriva sur le bord du précipice, ces pattes arrière faisant tomber un peu plus de terre dans les enfers. Anderlin leva alors son sceptre et une eblouissante lumière en jaillit faisant reculer les soldats qui venait le tuer, l'Entité vola vers les nuages et passa au travers, puis, elle redescendit vers le champs de bataille, créant un cyclone derrière elle. Il s'habatit sur le champs de bataille, aspirant les guerriers le splus proches dans des cris de peure et de douleurs. Anderlin était seul de son côté, séparé de ses troupes, il frappait tuant le plus possible avant que la mort ne se desside à l'emporter.

Chevalier Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 20/01/2008

Marweck combatait avec rage, son haume était parsemé de taches écalates et sa tunique blanche au paravant n'était plus qu'un vétement de soie trampée par le sang. Le soufle de Marweck était rapide, il venait de prendre concience de sa prochaine mission. Pour le moment, le fait de renverser le trone d'Anderlin n'avait été qu'une idée, mais à présent, c'était un fait. Alors, traversant la mélée, Marweck galopa vers son roi, son deffunt roi comme il aimait à le penser. Il tuait dans un seul but, aprocher Anderlin et l'assassiner. Il ne se battait même plus pour sa vie ou pour celle de siens, mais pour sa mission, pour ce qu'il croyait être un devoir.

La tête du dernier soldat de la sixième tribus qui le séparait d'Anderlin tomba. A present, Marweck était suffisament loin de l'armée d'Emeold pour songer à être vue. Il leva bien haut son épée et galopa au traves du périmètre qu'Anderlin avait crée invonlontairement en créant la panique dans l'esprit des enemis. Il ne lui restait plus que dix mètres, neuf, huit, sept...

Marweck se sentit alors soulevé, tout ce passa très vite, il fut progeté sur le côté et lorsqu'il regard derrière lui, il vit l'effroyable gueule de l'Entité Elémentaire d'Anderlin. Marweck raterrit lourdement sur le sol, son épée à un bon mètre de sa main. Il regarda à ses pieds, la depouille de sa monture gisait sur le sol détrampé par le sang. Le flan de son cheval avait été lacéré et ses entrailles jaillissaient des blessures. L'oeil fou du cheval encore en vie mais faible se tourna vers son maitre. L'animal, dréssé comme il le fallait tenta de se relever pour aller voir son maître mais ses blessures l'en empéchèrent. Alors dans un cris de desespoire et de souffrance, il expira. Marweck se releva, il sentait le sang couler de son front et il retira son casque broyé par le choc. Le regard fou, la bouche écumant de rage, Marweck frappa de son gantelet le ventre d'un soldats adversaire qui venait l'achever. Le soldat, le souffle couper tomba sur le sol haletant. Alors, Marweck ramassa son épée, une épée étrangère, courte, à la lame légèrement recourbé. Puis, il frappa au travers de la gorge de l'homme à terre, tranchant l'artère principale. Le visage de Marweck était maculé de sang. Le capitaine des chevaliers ramassa sa propre épée et hurla de rage. Comment la créature d'Anderlin avait-elle fait pour connaître les attentions de Maweck, quelle était cette diablerie.

Mais Marweck n'eu pas le temps d'aprofondire ses reflexions car la terre se dechira. Une faille passa entre ses deux jambes et le sol s'écarta. Alors, le cavalier à terre se jetta sur un des coté et suivit la faille des yeux. Elle frappa une des murailles d'Eolios. Cette vision arracha un sourir à Marweck, le mur tomberait de lui même.

Une flèche tomba à coté de lui. Elle se planta dans le sol. Marweck la retira et examina la pointe, une sorte de liquide noire semblait en couler. Un cris le fit se retourner, un téméraire courait vers lui, un gourdin au dessus de sa tête. Se mettant face à lui, Marweck fit un pas de côté au dernier moment eu planta la flèche entre les côtes du soldats. L'homme tomba et commença à se tordre de douleur. L'herbe sur laquel l'homme tomba noircit et mourut d'elle même. Une nouvelle idée jaillit de l'esprit tordus de Marweck, il plonga ses deux épée dans le corps de l'homme agonisant et en retira les lames maculé du poison. Marweck se fraya donc un passage vers Eolios en frappant tous ceux qui se dressaient devant lui, chacun de ses coups étant mortel.

Le soleil était à son Zénith, un cyclone ravageait les hordes de la sixième tribus et un tremblement de terre venait d'ébranler la muraille Est d'Eolios. Bien que celle-ci soit à) présent fissurée, l'ouverture n'était pas assez large pour faire entrer un homme. Logwen hurlait ses ordres du plus fort qu'elle le pouvait, dirigeant aisni des centaines de flèches qui tombaient en cascade sur les soldats à présent occupé à affronter les hommes entrainés d'Eolios et des autres tribus.

Le regard de Logwen fut attiré par un léger tremblement sur la place devant la porte. La terre s'effondra et des hordes de nains jaillirent. Amis? Enemis? Peu importe, la question ne se posait pas, les nains attaquaient les gardes restés en ville tandis que ceux-ci restaient tournés vers la porte, anxieux. Logwen prise au depourvut dirigea son arce ves le leader des nains et décocha une flèche qui frappa le petit être au travers de la gorge. Il y eu alors un grand silence dans la ville, les nains se rendirent compte qu'ils avait été vus, et les soldats se rendirent compte de leur présence, puis, il y eu un cris emanant des soldats d'Eolios et le combat débuta à l'interieur.

Archers, tuez les nains!!!! Rabattez les sous terres et refermez le trou.

Logwen descendit à la volée les marches de la muraille, son arc au poin et tira en rafale sur la sortie du trou, faisant tomber les corps de ces êtres boueuses et barbus dans le tunnel.

Il faut absolument les empêcher de pénétrer dans la ville ! Je croyais avoir été assez claire mais visiblement ce n'est pas le cas, si nous perdons la guerre tu le paieras de ta propre vie... enfin si tu y survis bien entendu !

J’en suis pleinement conscient…

Baalberith était dépassé par les événements, des incantations et des pluies de flèches essayai de le toucher en vain. Sachant que sa vie était en jeu dans tous les cas, il ne réfléchit qu’un instant et sauta de sa monture volante en direction des troupes ennemies en dessous de lui. En pleine chute libre, il dégaina Thamuz sa démoniaque claymore et s’apprêta à s’en servir à grand escient. Avant que Baalberith n’atteigne le sol, il prononça quelques paroles maléfiques destinées à sa propre vie, puis d’un instant à l’autre il disparut en plein vol.

Les troupes aux sol alarmées de son arrivé, restèrent figé de l’avoir perdu de vue, puis quelques secondes s’écoula juste avant qu’ils ne tombent à terre comme de vulgaires cadavres. Tous c’est morts formaient une sacré pile, sur laquelle était sagement assis Baalberith. Quelques survivants réussirent à s’échapper mais dans un piteux état.

Les Portes d’Elios n’étaient plus très loin à pied, Baalberith devait empêcher le regroupement des armés à l’intérieur. Il tendit son épée vers le ciel, et hurla de toutes ses forces.

ELIOS TU ES FAIT !!!! SIXIEME TRIBU C’EST ICI MEME QUE VOTRE JOUR DE GLOIRE VA COMMENCER !! A L’ATTAQUE POUR NOTRE MAITRE!!!

Puis après c’est quelques paroles, une nuée sombre s’approchait rapidement de la cité, tranchant têtes et âmes, le moral des troupes ne faisait que monter. Une seconde charge fut déclarée sur les troupes du royaume du feu.

Ils chargent pour! Regardez, ils sortent pour nous offrir une opportunité d'entrer dans la ville! Rendons leur hommage dans cette charge, pour que leur mort ne soit pas totalement inutile! A mort!

Nuada regarde !! J’offre le privilège à tes hommes de défier mes sous-fifres !!! Alors qu’attends-tu ? Aurais-tu oublié que je te dois une petite revanche ? Profites-en pendant que tes lèches bottes se font massacrer !! La minute qui suit sera la pire de ta vie !!

Baalberith essaya de lui porter un coup à la tête mais en vain… Nuada ne voulait laisser passer cette occasion de le réduire à l’état de poussière. Un puissant combat allait débuter.

Si Nuada parvint à éviter la lame, elle réussit néanmoins à trancher la selle, faisant tomber Nuada de son canasson. il se releva, la lame en position de défense en prime, la lame vers le bas. Khan s'enflamma. Le démon frappa en sixste. Nuada para, et riposta, cherchant à percer son adversaire au niveau de l'abdomen. Baalberith para avec rapidité, et frappa Nuada au bras, faisant sauté les mailles de sa cotte. Le choc réveilla la cicatrice que Nuada avait hérité des brigands. Nuada glissa à genou, ne pouvant bouger le bras droit qu'au prix d'une effroyable douleur. Thamuz se posa juste de vant son visage. Son gros oeil le fixait.

Tu abandonnes déjà?

Nuada se coucha, puis roula sur la droite, et se remis debout, tenant Khan dans sa main gauche. Il se remit difficilement en garde, mais parvint à lancer une attaque qui destabilisa Baalberith. Il enchaîna des attaques aussi faibles que malhabiles pour quelqu'un de son niveau, mais ne parvint pas porter de coup sérieux à Baalbérith, malgré quelques égratinures.

Cassidi luttait, épée en main contre des enemis dix fois plus nombreux que lui. Tout allait très vite, à peine avait-il le temps de parer un coup d'un côté que trois autre arrivaient. De plus, la terre s'était déchiré sous ses pieds et un cyclone, avait été laché libre d'aler où il voulait sur le champs de bataille. Au loin, une forme grise virvoletait poussant parfois un cris monstrueux. La créature d'Anderlin avait du succès.

Le cheval de Cassidi tomba, trois guerriers énemis le tenaient par la bride et tiraient de façon à le deséquilibrer. Cassidi se releva dans une roulade et se retrouva face à une dizaine d'homme, n'ayant qu'une idée en tête, tuer le cavalier qui se defendait depuis plusieurs minutes déjà et avait tué des dizaines des leurs. Ils s'aprochèrent l'encerclant. Débuta alors un combat sanglant entre Cassidi et dix soldats plus ou moins entrainés. Dès le debut, le chef des rebelles laissa tomber son bouclier et pris son épée entre ses deux mains. Il fit sauter la hache de l'un des hommes des mains de son propriétaire avant de lui enfoncer l'épée jusqu'à la garde dans le torce. Puis, sans même chercher à retirer son arme, Cassidi s'acroupie afin d'éviter une masse qui passait par là. Il recupera la hache et la fit tourner autour de sa tête, tranchant des morceaux de chaires dans ceux qui s'aprochaient trop. Ainsi, jusqu'à ce que les dix hommes tombèrent, Cassidi les désarmait, les tuaient et parait leurs coups avec une abilité déconcertente. Il ramassa son épée, la rengea dans son foureau acroché dans le dos, jetta la hache dans le tas de soldats qui se battait faisant tomber un enemis, et profita de ses mains libre pour prendre deux petites haches, à simple tranchant. Il poussa alors un cris et couru rejoindre ces hommes.

Cassidi entendit alors un cris venant d'Eolios, le cris était plus fort que tous ceux qui venaient de la pleine, mais si Cassidi l'entendi, ou si il fit attention, c'était parcequ'il connaissait cette voix et qu'il ne saisit pas tout de suite l'ordre qu'elle donnait. Il fallait tuer les nains? Traiter les gens de petite taille de "nain" n'était pas très courtoie. C'est alors qu'il compris, Logwen, la jeune capitaine responssable des archers avait un problème avec des nains dans la capitale. Mais les nains étaient des êtres alliés, apartenant à sa tribus natale, celle de la terre. Tout s'enchaina très vite dans son esprit, la faille dans le sol, elle avait été provoqué volontairement par les Elémentaires de la Terre afin d'ébranler Eolios, et les nains passant sous terre entraient dans la capital pour la prendre par surprise.

Cassidi se retrouva face à un cruel dilème, protéger la ville d'Anderlin, la seule personne à s'être jamais intérécé à lui autrement qu'en le voyant comme un criminel, ou alors aider les troupes de sa tribus d'origine. Le choix fut vite fait, il avait été bannis du royaume de la Terre, alors il n'avait plus rien à voir avec eux, satisfait de cette pensée, il donna un violent coup de hache dans la gorge d'un cavalier de la sixième tribus qui passait, et il lui pris sa monture, laissant le malheureux soldats expirer dans son sang qui tachat l'herbe verte de la plaine. Attachant une des haches à sa ceinture, Cassidi mena le cheval d'une main tandis que de l'autre il tuait les adversaires à porté de son arme. Alors, en peu de temps, Cassidi se retrouva devant la porte d'Eolios, il se sentit stupid, seul il n'arriverait jamais à entrer dans la capital sans faire ouvrir la porte, mais avec les combats qui avaient lieu dans la ville et devat celle-ci, personne ne songerait à ouvrir la grande porte de bois. Il fit fare volte face sa monture et galopa vers une des failles dans le sol. Il arriva au bord de l'une d'entre elle. Il chercha du regard un trou, un tunel et vit se qu'il voulait voir, les nains avaient utilisé les failles pour commencer à creuser. Cassidi descendit du cheval, rengea les haches et se laissa glisser dans la faille. Puis, il arriva au tunnel, il s'alongea et rempat.

Il rempat pendant plusieurs minutes lorsque le tunnel commençat à remonter, il se prépara à combattre, sortant ses haches de se ceinture. Puis, il vit le jour, des hordes de nains combattaient les soldats d'Anderlin, sur les remparts se tenaient des archers qui tiraient des salves de flèches sur les intrus. Une de ces flèche frappa Cassidi à l'épaule gauche. Levant les yeux, il vit Logwen tirant en rafale, une de ces flèches avait été pour lui.

Anderlin continua de faire galoper son cheval droit devant lui, fauchant les téméraires qui se dressaient sur son chemin. La bataille tournait à la confusion la plus totale. Devant lui, dans le ciel tournait un oiseau de taille monstrueuse. Son cavalier tenait un arc et réduisait à l’état de cadavres les soldats que ses flèches touchaient. Anderlin ferma les yeux tandis que son cheval avançait seul. Il vida son esprit, ne pensant plus qu’à une chose, l’air qui l’entourait. Sa barbe et ses cheveux d’argent commencèrent à flotter dans des sens épars et sans rapport avec le vent qui soufflait. Puis, brusquement, le mage-roi ouvrit les yeux et s’envola à la vitesse d’une flèche. Il regarda le champ de bataille, son cheval continuait seul sa course, à vrai dire, Anderlin ne voyait de lui qu’une tache blanche, progressant au milieu d’une horde sombre de soldats.

Le mage arrêta son ascension, ses sens en éveil, la magie qui coulait en ses veines à ce moment là était bien plus concentrée que jamais. Le roi d’Emeold la sentait qui picotait dans chacun de ses muscle, dans chacune de ces pensée, dans ces faits et gestes. Anderlin n’était plus maître de son corps, c’était comme si il y habitait encore, mais qu’il regardait faire un autre esprit. Il volait, sur place. Le roi chercha des yeux l’oiseau géant et le trouva. Il fondit sur lui épée en main telle un rapace. Dans son sillage, les nuages tourbillonnaient et créaient une tempête balayant le sol. La distance entre Anderlin et l’oiseau diminuait à une vitesse effroyable. Le roi du Vent distingua alors le cavalier que l’oiseau. C’était une femme, il la connaissait, il l’avait déjà vu, dans un bois, une jeune élémentaire de la Glace qu’elle disait… Aucun doute possible, il avait devant lui Narcissa, reine trop connu par les Cinq Rois comme étant la souveraine de la Sixième Tribus. A peine un instant après cette pensée, Anderlin se trouvait l’oiseau derrière lui, son épée imbibée de sang. Il fit volte-face et vit l’oiseau tomber, sa tête séparée du reste du corps. Narcissa tombait droit sur le sol. Anderlin l’y suivit à toute vitesse, pointant son sceptre vers l’endroit où il arrivait. Un puissant éclair de lumière accompagnée d’une détonation jaillit et le sol se dégagea sous les pieds du mage qui atterrit. Les hommes qu’il avait éjectés se relevaient avec peine. Devant lui se tenait Narcissa qui tombant sur le corps de sa monture avait échappé à la mort. Anderlin était droit, son épée tenue de façon si ferme dans sa main droite que ses jointures jaunissaient. Anderlin fit quelques pas dans la direction de Narcissa qui était toujours à terre, haletante. Il la regarda avec mépris et lui donna un coup de pied dans l’estomac pour la faire revenir à la réalité.

Narcissa… a portée de mon épée. J’ai face à moi l’occasion de mettre un terme à cette guerre. Donnez moi une raison de vous laisser la vie sauve… après le mal que vous nous avez donné.

Au moment où Anderlin allait porté le coup qui allait sonner la fin de la bataille, coup qui allait entrée dans l’histoire comme étant celui qui allait mettre fin au reigne diabolique de la Sixième Tribus, Nuada arriva luttant contre un guerrier de la tribu de Narcissa qui avait l’air diabolique. Les deux hommes frappaient avec leur épée à une vitesse époustouflante. Anderlin fut un moment détournée de Narcissa et lorsqu’il reporta son attention sur elle, il la vit, plus loins, à une dizaine de mètres pointant son arc sur le roi de la Tribus du Vent. Nuada aperçu Anderlin et pris place à ses côtés, tandis que le guerrier s’installait près de sa reine. Anderlin ainsi que Nuada se mirent en garde, un double duel allait comencer …

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